Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps

 

        

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LISIEUX 2025

 

 

MISE À JOUR DU 11.02.2023

 

Classement chronologique inverse

 

 

 

LA LIAISON DANGEREUSE

 

MISE A JOUR DU 24.08.2022 :  Après l'Avenue Victor Hugo rebaptisée façon sardonique "Les Champs Désertiques", il fallait trouver un surnom à cet espace dit "de liaison" entre les Champs et la future esplanade des débiles ex-Place de la République. Car, au château, ils vont se défoncer pour "faire chier le monde", supprimer des places de parking, torpiller le marché et les manifestations demandant de la place, permettre aux copains d'agrandir leur terrasses (en payant ?) etc...

Les gogols qui ne se sont pas opposés aux délires boboïdes du cabinet Lavergne, qui a vendu sa soupe wokiste au crétin précédent pour 1M€, commencent à paniquer sérieux, dont un célèbre cireur de pompes marchand de pinard de son état. Je vous recommande son Bercy pas piqué des hannetons. Ils vient de s'apercevoir que ses clients qui achètent ses litrons vont devoir se trimballer à pinces les cartons de 6, en faisant gaffe à ne pas se péter la tronche sur les marches traîtresses. Après avoir léché les bottes pour avoir terrasse et rue piétonne, il a quand même pris la précaution d'évacuer préventivement et d'ouvrir un estaminet à la Galoterie avec parking gratuit au milieu des grosses surfiasses.

Il rêve évidemment de terrasse à pas cher, ce qui lui coûtera de rincer la cloison de quelques oligarques de l'équipe de branquignols, comme le proprio des murs du restau d'en face, qui, lorsqu'il a vu les plans, s'est tourné vers sa chérie et lui a dit "on se barre". Authentique.

Car les terrasses branchouilles à cet endroit ce sera niet si le préfet a des couilles, vu la législation en matière de débits de boisson vu la proximité d'une officine sous contrat d'abrutissement des têtes blondes friquées. 

Car de facto, 60 places de moins, c'est la mort des commerces du quartier.

Pour les riverains, ce sont les prémices de l'enfer, dans ce lieu encagé avec la réverbération du boucan qui va bien. Entre les ados attardés et leurs planches à roulettes, les qui n'ont pas les codes amateurs de rodéos, et les fêtards défoncés jusque plus d'heure, ils vont être servis. C'est là qu'il fallait implanter la police municipale, le boulot est à proximité (il est étonnant que les locaux de HOTVIL n'aient pas encore brûlé).

Quand à l'innocent d'église du Bon Pasteur, on risque de rigoler quand ses bourges vont être obligés de venir chercher leurs sales gosses pédestrement, à condition de trouver une place payante. En effet, toute fière, la rédaction unique annonce un rétablissement de la circulation, ce qui ne veut pas dire la possibilité de s'arrêter. On est dans les 500m pédibus minimum, avec des braillards sortis de la cuisse de Jupiter habitués à se faire cueillir par leurs vieux stationnant moteur tournant dans leur SUV ou 4x4 clim à donf, comme dans la cour de Matignon. Il y en a même un qui venait en Volvo.

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 10.08.2022 : La chasse à la bagnole pour "faire chier le monde" continue, puisqu'ils ont apparemment encore supprimé des places par rapport au plan d'origine. Il est certain qu'en plein cagnard c'est aveuglant, va encore y avoir de la petite vieille au tapis. Sans compter avec le boucan des skate-board, les rodéos, et les zombies camés qui braillent la nuit, vu que ça résonne mieux que l'avenue des champs désertiques (ave V. Hugo).

Bon, je ne suis plus tout seul à ronchonner, le camarade marxiste Didier Brault s'y met aussi. La fine équipe d'abrutis du château devrait continuer sur sa lancée en dévastant la Place de la République, en supprimant encore une bonne centaine de places. Ils vont y arriver, à tuer le commerce de centre ville.

Le chantier a l'air en plan, et ne sera pas terminé pour la rentrée des classes. Big foutoir assuré, surtout pour la rentrée des classes au Bon Pasteur.

 

Au moins, il y aura la place pour mettre les poubelles.

 

MISE A JOUR DU 22.07.2022 : Les innocents de village, à force de supprimer des places, de foutre le souk avec des travaux, vont finir par arriver à leur but : tuer le commerce. Rue des Mathurins, outre une galerie vidée, deux pas de porte refaits à neuf ne trouvent pas preneur, le Monoprix désertique ne va pas tarder à tirer sa révérence et la librairie centrale qui ne trouve pas d'acheteur devrait inquiéter.

"L'espace de liaison" (Pl de Gaulle/Résistance) va encore en mettre un coup derrière les étiquettes (60 places supprimées), d'autant plus qu'il semble qu'il n'y aura plus de stationnement rue de la Résistance, entièrement piéton. Un marchand de pinard bien connu, qui a changé de bottes à lécher et est passé de Nanard à Onc' Donne Sous, a même pris les devants en préparant sa retraite élastique à la Galoterie. Si tes clients sont obligés de se coltiner 100 mètres à pinces pour trimballer leur carton de picrate, tu verras plus personne au bout d'un moment. Rappel : "no parking, no business". 

 

 

LES MARCHES FUNÈBRES

 

DES CLOUS A 89999€ !

 

 

MAJ du 09.11.2019 :  Il est évident que les remarques de Lisieux à Venir sur les travaux ni faits ni à faire du "COURS VICTOR HUGO", qui ne respectent pas les normes, sont mal passées.

Malgré plusieurs demandes les plans n'ont été communiqués à personne, et il a fallu les prendre en photo, avec pour inconvénient une mauvaise définition et sans plans de coupes. J'ai fait du dessin industriel en prépa, je me serais aperçu de l'existence de cette fameuse "marche".  Ce n'est pas un problème de "philosophie" mais un problème de sécurité. Au plus fort la hauteur est de 36cm. Pour enfumer (et préparer la défense si une victime dépose plainte), il nous parle de "margelle", seulement voilà le Larousse nous dit : "Pierre ou assise de pierres qui forme le rebord d'un puits, d'une fontaine, etc.". Ce n'est absolument pas le cas.

Il ne faut pas oublier que l'espace de circulation des piétons n'a plus rien à voir avec un trottoir classique, et surtout qu'il va être parcouru par des personnes à mobilité réduite, des poussettes, des vélos et trottinettes, des fauteuils roulants. J'ai trouvé un excellent document qui montre que le roitelet et son bobo houhou d'architecte ont tout faux de A à Z. Il ment comme un arracheur de dents quand il dit qu'il peut se passer de garde-corps en dessous de 40cm : je demande donc le texte de référence au château. 

Au dernières nouvelles ils vont mettre des... clous !!! Complètement à la masse. En tous cas le préfet a été prévenu. 

 

MAJ du 26.09.2019 :  Ca tourne à la pantalonnade : l'emplacement livraison (pas aux normes) est signalé, au lieu de la mise en peinture habituelle, par des... lettres en métal, dont la moitié sont disparues. Victime de chineux, de voleurs de poules reconvertis dans la ferraille, de vandales ou tout simplement de la connerie de l'architecte ?

Autre détail cocasse, les places handicapés sont aussi équipés de bout de ferraille invisibles. Tu fais pas gaffe, tu te gares, et paf 135€.

 

 Mélissa fait de l'aquaplaning 

 

 

MAJ du 19.09.2019 :  Dérapage au conseil municipal, Mélissa, qui en tremble encore, nous a décrit son aquaplaning sur les pavés mouillés à l'entrée de l'avenue Victor Hugo. Les langues de vipère diront que même quand c'est sec, elle plane. Cerise sur le gâteau, sous ses yeux, deux petites vieilles au tas. Il va bientôt falloir renommer ce piège à mémés Avenue Jacques Attali.  Un bon moyen de faire de la place dans les EPHAD. Vous allez voir qu'on va apprendre un jour que le roitelet touche un pourcentage sur les fractures du col du fémur et les dentiers explosés.

Plus sérieusement, ils sont dans le caca grave. Ils passent déjà pour des cons, mais c'est en fait une conséquence directe du secret qui a présidé à l'élaboration de ces travaux, vieille manie des élus paranos, suivi d'une concertation bidon en forme de mise devant les conneries accomplies. Le gros responsable de cet échec invraisemblable, outre le roitelet qui a le tronc large, c'est sa brosse à reluire Paul Mercier. Car enfin, si les citoyens, riverains et commerçants avaient vraiment participé, quelqu'un aurait bien compris un jour que ces marches funèbres sont extrêmement dangereuses. Et que les pavés utilisés, lissés par le passage des automobiles, sont devenus une véritable patinoire, pour les vieux et les deux roues, c'est les moustaches en croix sur le carreau assurées.

Bon, maintenant, pour rectifier le tir, va falloir penser. Et c'est mal parti : très emmerdé, son éminence nous a sorti qu'il allait "faire des rayures" (en traînant les dents de Jérémy Gouret ça devrait le faire), et poser des clous le long des marches. Pour moi, la seule solution, c'est de démolir les pavés sur les passages piétons et les remplacer par un revêtement classique et de poser des barrières avec des passages bien identifiés. Je m'étonne d'ailleurs que les casse-burnes d'associations de protection de la veuve de l'orphelin, des aveugles et paralytiques et des déséquilibrés, ne soient pas montées au créneau du fait de l'absence de bandes rugueuses au sol comme cela se pratique pour tous les passages piétons rénovés en ville. Même un chien d'aveugle prend des risques, au secours la SPA.

Il y a un moment où la préfecture et sa prévention routière va devoir sortir sa règle à taper sur les doigts de ces rigolos. Faire gaffe quand même à Dorothée. 

Sans compter qu'en cas de dépôt de plaintes qui ne sauraient tarder, le proc va rentrer dans la danse. 

C'est pas très bon à six mois des municipales.

 

 

 

MAJ du 13.09.2019 :  Entre les élucubrations de l'architecte à 900000€, un bobo caractéristique du Parisien branchouille ouh-ouh, et la sinistre réalité, il y a une hécatombe de mamies qui raclent le pavé avec leur dentier tout neuf. Il faut savoir que légalement, une mairie est responsable quand il y a un trou ou un dénivelé de 7cm (de mémoire). Alors évidemment, c'est la panique chez les crétins qui se sont fait rouler et n'ont pas vu ce grave défaut de conception. Alors on y va avec de l'adhésif, pourquoi pas du sparadrap. Notons que tout dénivelé de ce type doit être signalé aux aveugles par des plaques à plots comme sur les bateaux de passages pour piétons.

Bref, ils vont être obligés de poser une barrière et aménager des passages, et à six mois des élections passer pour des Branquignoles.

 

MAJ du 02.09.2019 :  La fameuse marche funèbre de l'avenue Victor Hugo a fait d'autres victimes, il se dit qu'une dame s'est étalée de tout son long à cause du caniveau. Il se murmure que la bande de crétins envisage de faire quelque chose. Etre obligé de mettre une rambarde va les faire passer pour des cons, et ils vont donc prendre le risque d'autres victimes de leur incurie. Pas intérêt à ce que le bobo trottinette d'architecte me tombe entre les pattes, il va se prendre une équerre, un compas et un fil à plomb. De plus il me serait très désagréable qu'il perçoive des honoraires supplémentaires pour réparer ses conneries et que la ville paye l'addition de la ou des rambardes. Non mais.

 

 

 

MAJ du 16.08.2019 :  On a vraiment affaire à des brêles. Cette fameuse marche extrêmement dangereuse est encore plus haute au fond de la place. L'automobiliste Gaulois étant un débrouillard et un resquilleur, certains (dont votre serviteur) jetaient leur caisse en épi, puisqu'il y a la place. Mine de rien, ça double pratiquement la capacité. Du coup les idiots de ville ont été obligés de mettre des barrières Vauban provisoirement (et en fait définitivement) et de poser des pancartes "stationnement longitudinal". Vous allez voir que ces crétins vont être obligés de poser deux rangées de barrières, une pour empêcher les automobilistes de stationner en épi et une autre pour que les piétons ne se cassent pas la figure. Ne manque plus que des d'jeuns à planches à roulettes.

 

 

 

 

 

MAJ du 18.07.2019 :  L'aménagement débile de l'avenue Victor Hugo continue, et évidemment les erreurs de conception et de sécurité apparaissent. Plusieurs personnes ont fait des chutes dues à ces marches dangereuses, du fait qu'elles sont peu visibles à cause de la couleur blanche. Les lieux n'ont pas encore été investis par les d'jeun's à planche à roulettes avec le boucan associé mais ça va pas tarder. Vu aussi une trottinette électrique à donf.

J'émets aussi des doutes quant à la possibilité dans le futur de faire passer le critérium par cette avenue, vu la vitesse à laquelle ils roulent, et que les pavés bien lissés par le passage des voitures sont bien glissants. Quid en cas de pluie ?

Le roitelet vient de rappeler que l'entretien des trottoirs est du ressort des commerçants (propreté, neige, plantes), mais jusqu'où exactement, deux mètres, dix mètres ?

Un assureur a rappelé le danger sur sa porte, sage précaution, car en cas d'accident, la mairie n'assume pas, c'est pas moi c'est les autres, une rengaine.

Autre danger, le bitume sera au niveau du trottoir, c'est en pente, gare à la dérive de véhicules d'étourdis qui oublient de serrer leur frein à main.

Et le préfet, chargé de la sécurité des citoyens, il en pense quoi ?

A suivre...

 

 Curieux, on bétonne, puis on casse pour y planter des arbres.

 

MAJ du 08.07.2019 :  C'est une hécatombe de piétons avenue Victor Hugo, en particulier les vieilles dames, coeur de cible du bizouteur, à cause de la marche qui coupe de trottoir côté ouest. L'éblouissement provoqué par les pavés blancs y est pour beaucoup. Franchement, payer des architectes presque un million d'euros pour faire des conneries pareilles laisse rêveur. Il y en a même qui atterrissent en vol plané directos dans la pharmacie. 

 

 

 

ENTRÉE Ave V. HUGO :

 

UNE CHICANE POUR DISSUADER ?

 

MAJ du 21.05.2019 :  Je n'avais pas fait attention à un détail sur les plans, le fléchage de l'entrée de la place côté basilique, qui se fait par une chicane, dans le style débile de la rue de la gare, en gros "faire chier le monde", où l'automobiliste, cible privilégié des harpies de la sécurité routière, est mis en danger en permanence. Il risque à la moindre faute de se retrouver au tribunal, et de se faire plumer par le piéton imprudent qui prend des risques parfois insensés. Il suffit de conduire une machine à vapeur au milieu des gens sur un train touristique pour se rendre compte de la débilité des comportements. Les remontées de piste cyclable en sens interdit, c'est pas du "déplacement doux", mais du suicide, surtout en fauteuil roulant (deux tentatives pour ce qui me concerne, loupées de peu).

Bref, s'engager sur l'avenue par ce traquenard sera un exercice à haut risque, c'est au pas, ou alors faire descendre le passager avec un drapeau rouge.

Bref, gare aux poussettes au raz du sol, aux fauteuils roulants électriques à donf, aux bobos tarés en trottinettes, aux vélos ahuris qui confondent trottoir et Veldiv', aux pré-grabataires en déambulateurs qui buttent sur les pavés aveuglants par soleil (beaucoup de malfaçons), et aux ramollis du tronc cérébral.

 

 

 

 

 

LES FOSSOYEURS

 

 

MAJ du 27.04.2019 :  Le problème avec les gros mensonges étalés complaisamment dans les trois feuilles locales de la "Rédaction Unique" (Ouest, Eveil, Pays d'Auge), sur une page complète, c'est qu'il faut être précis pour les démonter. Reconnaissons toutefois que CAP LISIEUX a pu répondre avec le même volume.

Que nous dit notre Bouffi-Bouffon : 

-- Que le recensement des pas de porte vides effectué par deux personnes de CAP LISIEUX au dessus de tous soupçons, qui se sont déplacés physiquement sur le terrain, est inexact. Peut être, mais la réalité est sûrement pire. Il y a bien 113 magasins vides. L'ECHO JOLI en détient une liste, et l'a transmise à qui de droit, le service municipal n'a plus qu'à aller vérifier. A moins qu'il soit interdit au personnel de le faire, voire de visiter les commerçants,  comme ce fut le cas avec le précédent manager de centre ville, un comble. En plus, le service concerné doit tenir à jour ses fichiers, est ce le cas ? J'en doute. Pourtant c'est leur boulot, le contribuable raque pour cela.  A sa disposition pour publier.

Pas de bol, il existe des statistiques assez précises : http://www.journaldunet.com/management/ville/lisieux/ville-14366/entreprises 

Accablant et vérifiable, et encore les zones extérieures sont comprises.

Notre bonimenteur nous dit que seuls 8% des commerces sont fermés. Donc (113 : 8) x 100 = 1412. Ca colle pas et de loin.

Dans les services aux particuliers on peut considérer qu'il y en a la moitié qui n'ont pas de local commercial (auto-entrepreneurs), soit 220 + 210 commerces.

Soit à la grosse 400 locaux commerciaux. Si 113 sont disponibles, le taux est de d'environ 20%, mais sans doute supérieur, car ça dézingue chez les grosses surfiasses, attaquées par la vente à distance (ex-VPC, mon métier depuis 37 ans, je connais la musique).

L'état ci-dessous date de 2017. Les ravages du plan de racket des automobilistes, délestés d'1M€ sont passés par là, par la suite, et le cas s'est aggravé, avec la bénédiction de Darty qui a évacué la ville fantôme à temps. Tout ça à cause d'un abruti qui n'a jamais voulu créer deux places minutes pour que les clients de Darty puissent venir chercher les objets encombrants. Maintenant, dans la zone, il suffit de se garer en marche arrière pour que l'aimable personnel vous charge votre voiture.

L'effet dominos joue à plein, le prochain désastre, c'est la galerie des Mathurins, condamnée à mort. La cheftaine des Vitrines de Lisieux aurait d'ailleurs courageusement et solidairement donné son congé pour aller dans une des cellules de l'ex-Darty. Sans soute pour lui donner un coup de main, cette association a reçu 30000€ pour une animation roue qui ne tournait pas, plus 15000€ de subvention 2019, soit 45000€ pour 23 participants à Pâques en Couleurs, soit une subvention directe interdite de 1956€ par commerce à la botte de la mairie.

C'est le prix pour fermer sa gueule sur le stationnement jusqu'à en crever.

 

 

 

MAJ du 25.04.2019 :  Posant fièrement dans une rue totalement déserte -- erreur de casting--, très content de lui, le petit soldat du roitelet essaye désespérément de colmater les brèches, et de faire croire que tout va bien dans le meilleur des mondes. Ce n'est pas sans arrière pensée, dans le sens où sa page facebook indique clairement qu'il se verrait bien calife à la place de l'autocrate, carrément tête de liste. Plus c'est gros plus ça passe.

Vu l'échec patent, dire "J’ai fait tout ce qui est en mon pouvoir pour défendre le commerce à Lisieux", au passé, est un beau lapsus, il eût été plus intelligent de parler au futur. Alors qu'il reste encore  huit mois de travaux pour l'avenue Victor Hugo, avec ventouses, vu que les horodateurs sont démontés, il n'a plus de cartouches. Ca va donc empirer. Car les 100 places qui manquent vont décaler les problèmes sur d'autres commerces, d'autant plus que ses copains d'une autre agence, Mer et Campagne, auraient tendance à stationner d'après certains témoignages (qui ont pris des clichés irréfutables), en zone rouge avec des abonnements en zone orange. Pas bien. Si ce que j'avance n'est pas vrai on le saura d'une manière ou d'une autre.

Pas de bol pour notre menteur comme un agent immobilier, métier pire qu'arracheur de dents, il prétend que le décompte effectué des commerces Lexoviens fermés est faux, alors que votre journal préféré en détient la liste. Ce sont donc 110 pas de portes fermés en centre ville. 

 

 

 

AVENUE VICTOR HUGO :

 

CROISEMENT TRÈS DIFFICILE

 

MAJ du 13.03.2019 :  Votre gribouillez d'investigation préféré s'est retrouvé hier avec quelques joyeux drilles avenue Victor Hugo. Comme le prouve le plan ci-dessous, il est prévu une circulation à double sens. Sauf que l'espace de circulation est très réduit, 6m environ, ce qui fait qu'avec un véhicule stationné à droite un peu large, deux 4x4 ou SUV de bobos auront de grandes difficultés à se croiser. Alors autant dire qu'avec un camion de livraison c'est impossible. Cela met par exemple en danger les convoyeurs de fonds. La banque n'a qu'à fermer. Vu comme ça.

Bref, on enfume, pour ensuite mettre à sens unique. Allez, moins 20% de chiffre en moins, sauf pour la pharmacie qui va voir son chiffre d'affaire d'EUPHORISAN 125 exploser.

Des élucubrations du cabinet Lavergne il ressortait que l'ouverture de l'espace avec le trottoir à gauche de 15m de large allait "favoriser la promenade, la convivialité", les concepts débiles habituels. Sauf que les pompiers ne l'entendent pas de cette oreille et veulent à juste titre pouvoir se déplacer au raz des immeubles avec la grande échelle. Du coup ceux qui espéraient en léchant le cul au roitelet pouvoir bénéficier de passe-droits pour s'étaler devant leur bouclard l'ont bien profond. 

Ce qui me fait aussi bien rigoler, c'est la place De Gaulle (rue de la résistance), où il ne restera que 12 places au lieu de 24 (avec 100 de moins avenue Victor Hugo). Il y a un marchand de pinard, et c'est lourd, le gaspi. Donc les boutanches, c'est dans le coffre de la chignole. Plus de place, plus de gimbarde. Yes !

Vous avez dit "les salauds" ?

 

 

 

MAJ du 16.02.2019 : Cerise sur le gâteau, voici le plan prévu pour la place du Général de Gaulle (rue de la résistance). Il reste 12 places à tout casser, alors qu'actuellement, il y en a environ 28, car on peut ruser pour se garer dans des petits coins. Pour la rue aux Fèvres, c'est imprécis, de toutes façons il y a des bornes en pierre derrière le cinéma pour faciliter les évacuations. Il faut s'attendre à la disparition totale du stationnement. Rue du 11 Novembre, tout est supprimé, remplacé par un large trottoir. Toujours contents les riverains et commerçants ?

 

 

 

 

MAJ du 10.02.2019 :  Lécher les pieds d'argile, et se faire financer par la mairie pour des animations bidons complètement ratées comme la roue qui a coûté au contribuable 30000€ pour faire de la pub à un groupe de commerçants marrons, n'est pas sans conséquences. Tu es obligé de fermer ta gueule.

Il y a des adhérents Les Vitrines de Lisieux sur l'avenue Victor Hugo, qui ne vont pas l'emporter en paradis, puisqu'ils vont déposer leur bilan. J'ai débuté dans la banque. La règle c'est : -20% de chiffre brutalement, c'est le dépôt de bilan assuré, sauf à avoir des comptes off-shore comme Macron, qui déclare 270000€ de patrimoine. Or là, selon tous les témoignages, c'est -30% à -50%.

Fallait vous défendre quand je vous l'ai dit, maintenant vous l'avez dans le fion avec le manche et l'étiquette, excusez la vulgarité.

Où je ma marre, c'est que la présidente de cette assoc à la botte va crever au fond de sa galerie où tout va fermer.

En effet, les ravages du stationnement payant sont maintenant ancrés, avec une place de la République vidée. 

Un honorable correspondant a fait des calculs d'apothicaire : il y a actuellement 480 places sur la place de la République.

Sur les plans ci-dessous il n'en reste que 147, soit 330 places de perdues.

Vous allez tous crever, bande d'abrutis. Le responsable alias "le suppôt de Satan" pour certains, Paul Mercier. A dégager.

 

MAJ du 25.01.2019 :  Pierre Blin, avocat, qui ne cache pas qu'il veut monter une liste pour les municipales, la ramène sur les indemnisations possibles pour les commerçants de l'avenue Victor Hugo. Faut pas rêver, car comme personne n'a participé aux réunions simulacres de concertation, comme il n'y a pas de comité de défense, les avocats de la ville payés par le contribuable auront beau jeu d'insinuer que tout le monde était d'accord pour accepter.

 

 

PLACE DE LA RÉPUBLIQUE

 

MAJ du 20.01.2019 :  Voici donc le projet des assassins de la mairie pour la place de la République. Plus de places derrière la médiathèque, ni sous les arbres, ni le long des arcades, ni le long de l'allée devant les bistrots de l'autre côté. Les fous continuent de rêver au Multiplex (mais le spectateur devra acheter une paire de godasses de randonnées), mais au passage, devant l'école Caroline Duchemin et le long de Jean Macé, ça dézingue à mort.

On en pense quoi les lèche-culs en vitrine ?

 

 

MAJ du 19.01.2019 :  Suite de la publication des plans photographiés. J'ai bien aimé aussi, réunion d'information avec les commerçants de l'avenue Victor Hugo, avec présence du staff de CAP LISIEUX, le lendemain, les barrières de chantier étaient en place. On a pas vu l'association de commerçants bidon à la botte de la mairie. Ils ne perdent rien pour attendre, vu la destruction de la place de la République.

Contrairement aux promesses qui n'engagent que lui, les pages LISIEUX 2025 sont en retard de deux métros, et les documents pdf montrés lors de la réunion ne sont toujours pas en ligne. Le roitelet vient d'inventer un nouveau concept : la transparence opaque. Il peut vendre la licence à Macron, avec ses débats bidons avec des maires triés sur le volet, pendant que les gendarmes tapent sur la tronche des Gilets Jaunes. J'ai bien aimé l'épisode de Rocamadour, avec le ministre de l'épandage de pesticides piégé dans un restaurant par la plèbe locale.

Pour les épisodes précédents c'est par ici :

 

 

 

 

 

 

 

MAJ du 15.01.2019 :  Réunion tristounette border limite sinistre à Jean Macé, au sujet du carnage de l'avenue Victor Hugo et alentours. L'architecte, un bobo, nous a rabâché ses arguments bidon d'écolo de centre ville. Son projet se résume en fait à nous imposer de marcher à pieds, parce que c'est branchouille dans le 16°. Ca peut se comprendre dans une ville très bien desservie par des transports en commun, avec des parkings souterrains (c'est le cas de Marseille par exemple), où finalement on n'a pas besoin de sa voiture et où il y a des touristes de tous âges.

Nos touristes à nous, ce sont des vieux qui se font trimballer en bus par des tours opérateurs qui font de l'abattage au chrono. Nos habitants à nous, ce sont des personnes âgées de plus en plus handicapées, et des jeunes qui se barrent ailleurs voir si l'herbe y est plus verte, y compris à l'étranger. 

Le problème est donc bien une erreur de conception au départ. C'est clair, et à CAP LISIEUX nous l'avons assez démontré (la preuve la reculade de la mairie), le commerce de centre ville et les emplois sont hyper dépendants de l'automobile, indispensable pour les 70000 habitants de l'agglo dont les 3/4 habitent à la campagne. C'est la France des Gilets Jaunes, qui en ont marre de se faire taxer le gazole alors que le kérosène de la jet set est détaxé.

J'ai rappelé que j'avais alerté les quelques commerçants présents il y a plus de deux ans, pour qu'ils se remuent le popotin pour ne pas crever.

Manifestement, aucune des personnes présentes ne s'est défendue et même est allée consulter les plans définitifs disponibles à la "maison de projets", qui, évidemment, n'ont pas été mis en ligne par les fourbes qui ont concocté ce désastre en grand secret avec un cabinet grassement payé (900000€ à la grosse).

Ils ont découvert à quelle sauce il vont être mangés : un an de travaux, en plusieurs phases, avec tranchées, boue, bruit et fureur. Comique de l'histoire : comme il faut démonter les horodateurs, les quelques places miraculées entre les pelleteuses seront gratuites et donc occupées par des ventouses, dont celles du personnel de la mairie. Et au final, ce seront plus de 120 places évaporées définitivement, et contrairement à la rue de la gare et au Carmel, où un coup de bull et quelques tronçonnages permettent de rétablir la situation, c'est définitif.

Notre Bouffi-Bouffon, très en forme, a eu un éclair d'intelligence (c'est pas tous les jours) en émettant l'idée de stationnement minute devant les commerces de bouche qui sont très dépendants des déplacements en voiture (70% des clients des boulangeries par exemple).

In fine, histoire de mettre le coup de massue final, le roitelet a craché le morceau : le déplacement du marché est dans le tuyau. Des fous ? Ben oui.

Comme promis, les plans photographiés à l'arrache, puisqu'ils n'ont jamais été publiés, ni par la mairie, ni par la presse dont c'est quand même le boulot. Après ils vont se plaindre de se faire secouer le paletot par les GJ. A suivre d'ailleurs, pour la place de la République et la rue de la Résistance où la calamité est du même ordre.

 

 

 

 

 

 

MAJ du 11.01.2019 :  Les plans quasi-définitifs de la destruction du centre ville sont consultables à la "maison des projets" (dans un ancien commerce en face de l'espace Victor Hugo). J'y suis allé ce matin vers 10h et ai eu du mal à trouver de la place, sous la surveillance d'un essaim d'ASVP manifestement en forme pour la curée. Le roitelet, lors de ses voeux d'hier soir, se glorifiait du fait que Lisieux est une ville connectée, maîtrisant internet, branchouille.

Sauf que pour les choses à cacher, la machine à mentir et à dissimuler fonctionne à plein régime.

Ces plans devraient être disponibles en ligne si on avait affaire à un démocrate. A la place vous avez une "chasse au trésor" un peu débile pour amuser la galerie.

Seulement voilà, les habitants et commerçants doivent découvrir le plus tard possible à quelle sauce ils vont être "emmerdés" pour les uns, et ruinés pour les autres.

Prochaine réunion avec les commerçants : lundi 14 janvier 2019 19h Ecole Jean Macé. Durée des travaux avec boue, boucan et travailleurs migrants clandestins, un an. On attend quand même l'avis de la DRAC, sinon, fouilles d'abord. Yes.

Là, c'est pareil, a priori il n'y a pas eu d'invitations de lancées et distribuées, en particulier autour de la place de la République, et aux abords de la rue de la résistance, où le désastre sera du même niveau que pour l'avenue Victor Hugo. A titre d'exemple, il ne reste que 8 emplacements place de la résistance (bonjour les dégâts à la sortie de l'école), toutes les places sont supprimées le long des arcades et sous les arbres place de la République. Bon, une consolation, on a échappé aux jeux pour tarés sur la place de la Médiathèque.

J'ai photographié discrètement le document, à l'insu des trois employées. Ou le document est mis en ligne sur le site de la mairie, ou je publie mes photos.

Petit courrier du coeur en ce sens à Nanard. Sinon, ca va encore fritter à la réunion de lundi, puisqu'il paraît que personne ne lit ce site.

Pendant que j'y étais, un petit dossier du délire des 650 logements démolis à HOTVIL était accompagné d'un registre de doléances, ça se fait beaucoup en ce moment, totalement vide.

 

 

AU THÉÂTRE L'AUTRE SOIR

 

MAJ 06.12.2018 : Votre petit rapporteur de paquets sans ficelles n'était pas présent à la réunion bidon du 30 novembre 2018 sur l'aménagement du quartier Victor Hugo, mais des petites souris ont ouvert en grand leurs oreilles. Un seul commerçant de l'avenue était présent. J'avais bien prévenu et CAP LISIEUX aussi, on se bagarre, mais il faut que les boutiquiers et riverains se prennent en main.

On me rapporte que le roitelet semblait découvrir le dossier en hochant du tronc cérébral. Les enfumeurs des cabinets y sont allés de leurs phrases creuses et débiles : "les places doivent se parler", comme le poisson et l'oiseau qui s'aimaient d'amour tendre, "une nouvelle signature urbaine", "un arc puissant pour une flèche qui vise l'avenir" Cupidon n'est pas loin, "aménagement épuré et cohérent", surtout épuré de ses places de stationnement, "raviver les valeurs de base de l'avenue", "l'espace Victor Hugo est la nouvelle pierre angulaire du centre-ville", ce qui fait désordre car le bâtiment est... rond.

La déconante continue avec le choix de la pierre de soupe, qui respire et change de couleur, on ne précise pas si c'est glissant en cas de pluie, sinon la grande promenade va se terminer à l'hosto avec des cols de fémurs de vioques en vrac. On nous promet une augmentation de la fréquentation des commerces, avec 100 places de moins c'est pas gagné. Il y a du dépôt de bilan dans l'air et un certain moustachu tout rouge va encore devoir faire des remises sur les loyers, il va finir par être ruiné.

Prochaine réunion avec les commerçants : 14 janvier 2019 19h Ecole Jean Macé. Durée des travaux avec boue, boucan et travailleurs migrants clandestins, un an. Si ça se trouve, les pelleteuses seront déjà sur place. On attend quand même l'avis de la DRAC, sinon, fouilles d'abord. Yes.

 

 

 

LA DESTRUCTION DU CENTRE VILLE

 

MAJ 05.12.2018 : Cette réunion est celle de tous les dangers pour le centre ville. Car les mauvaises nouvelles s'accumulent : départ de Darty, Monoprix (dont le directeur part à la retraite) et Bouchara sur la sellette, Devred a des états d'âme. Je le répète aux commerçants et aux riverains, c'est à eux de se défendre, le genre Don Quichotte contre les moulins à vent, j'ai déjà donné dans des batailles passées (gagnées d'ailleurs comme pour le stationnement en zone bleue dans mon quartier, et un projet correct pour le parking Marie Curie).

J'ai pris d'autres engagements depuis longtemps et je ne serai pas présent. Comment ça Ouf ? Mais il y aura du monde, dont j'espère des commerçants de l'avenue.

Attention ! les images du dossier n'étaient que des "brouillons", il vous sera présenté vraisemblablement des plans définitifs, concoctés en petit comité comme d'habitude et imposés de force aux futures victimes de la politique débile de stationnement et de réduction drastique du nombre de places disponibles dans ce quartier. Les parkings sont en effet, malgré le racket, très bien remplis dans cette zone.

 

 

 

 

MAJ du 27.03 : Cette autre vue montre la place Boudin-Desvergé, l'église St Jacques, le début de la rue Au Char. Le stationnement est restructuré dans l'autre sens, il ne reste que 47 places, toutes les autres autour de l'église (15 env.) et au début de la rue au Char (12 environ) sont supprimées. Sur la vue satellite  Google on compte (difficilement), 76 places. Rien que sur ce bout de ville, ce sont 100 places qui sont supprimées. En haut de l'image, le promoteur qui a bénéficié de la complaisance de Paul Mercier pour réhabiliter l'ancienne maison de retraite Korian, 32 logements, sans être obligé de créer ou payer pour 45 places de parking, va vendre ou louer des appartements plein pot à des résidents qui auront de grosses difficultés à stationner. Cette zone sera située en zone orange, et les résidents pourront donc y garer leur véhicule gratuitement avec la carte de résident qui va être mise en place en septembre. Résultat : ces places seront occupées en permanence par des ventouses qui ne vont pas payer, il n'y aura pas moyen de trouver une place pour les travailleuses-travailleurs le matin, quant aux clients des commerces, c'est direction la zone rouge, avec ses horodateurs coup de bambou.

Il pense à tout la brosse à reluire au roitelet.

 

 

 

 

MAJ du 23.03 : Encore une preuve de plus qu'il faut regarder les détails et que tout est manipulé dans le dossier LISIEUX 2025, pour le quartier Victor Hugo.

La vue perspective représente la place du Gal de Gaulle (traversée par la rue de la Résistance). Il y a actuellement 30 places (avec une petite voiture on peut se glisser gratos), toutes sucrées pour un espace piéton + terrasses sous les parasols. Pas terrible, c'est à l'ombre et plein de courants d'air.

Au fond, c'est l'école du Bon Pasteur, enclavée à souhait. Tout le monde sait que l'endroit est particulièrement encombré de greluches en 4x4 et SUV, pardon de dames Macronistes chicos qui viennent ramasser leur progéniture, lors des rentrées et sorties de classes. On peut même parler de joyeux capharnaüm.

Ce sera pire. On dit merci Nanard !

 

 

MAJ 28.01.2017 : Réponse de la mairie, circulez il n'y a rien à voir :

 

 

 

MAJ 28.01.2017 : Il se trouve que la ville de Saint Lô (20000 habitants comme nous) est une des plus performantes pour le faible taux de vacance de ses commerces de centre ville (6,6%, cela correspond pratiquement au taux maximum du fait des rotations et changements d'enseignes).

Un article accablant pour les dingues de la mairie est paru sur le sujet. Ils font exactement le contraire de St Lo avec le projet LISIEUX 2025 :

http://bfmbusiness.bfmtv.com/entreprise/les-secrets-de-saint-lo-pour-eviter-la-desertification-de-son-centre-ville-1089108.html 

Morceaux choisis :  "Dans la catégorie des petites villes moyennes, c'est Saint-Lô la lauréate. Son taux de vacance commerciale n'est que de 6,6% quand la moyenne pour les villes de la catégorie est à 11%.

"La ville est très forte sur beaucoup de critères comme le ratio emploi sur population active (elle propose 20.000 emplois alors que sa population n'est que de 10.000), son indice de chiffre d'affaires au m² est très correct, elle dispose de nombreux commerces indépendants alimentaires". Selon la fédération du commerce, Saint-Lô bénéficie en partie d'une situation favorable. "C'est une ville isolée, donc elle ne subit pas la concurrence des grands centres urbains et comme elle a été reconstruite après sa destruction pendant la guerre, elle dispose de facilités d'usage comme des parkings en centre-ville notamment", explique Procos.

Ne pas chasser la voiture du centre :

Une situation favorable et une politique clairement en faveur du centre-ville. "L'attractivité de notre territoire est notre mot d'ordre politique, explique François Brière, le maire de la préfecture de la Manche. C'est compliqué mais il faut travailler sur plein d'aspects différents". À commencer par la place accordée à la voiture. Alors que les villes moyennes sont tentées d'imiter les grandes en chassant l'automobile du centre-ville, Saint-Lô ne veut pas faire la guerre à la voiture. La ville dispose de 2.000 places de parking, gratuites pour la plupart. "Nous disposons d'une zone bleue mais nous sommes assez tolérants, assure François Brière. Devant la mairie, nous songeons à transformer la place réservée au parking en halle couverte mais nous compenserons les places de stationnement perdues." 
Surtout, la ville qui compte aux alentours de 400 commerces tente de limiter le poids des zones commerciales périphériques en soutenant l'association des commerces de centre-ville (200 adhérents). Un poste de manager de centre-ville a ainsi été créé. Sous l'autorité de l'association des commerçants mais financé par la ville à hauteur de 40.000 euros par an, il propose des opérations commerciales communes et fédère les commerçants, petits ou gros. 
Car ce sont ces "motifs de venue qui font l'attractivité des centres-villes, explique Pascal Madry, le directeur de Procos, pas les commerces". "Les magasins s'installent s'il y a du flux, pas l'inverse. Les centres-villes qui résistent sont ceux qui ont su conserver des motifs de venue comme des entreprises pour l'emploi, des établissements scolaires, des administrations... Et à trop privilégier la périphérie, les villes ont souvent condamné leur centre-ville". La ville participe ainsi à l'amélioration de l'habitat au centre en aidant les propriétaires à créer des copropriétés pour que les gens n'aillent pas obligatoirement habiter en périphérie. Elle privilégie le centre aussi pour les équipements sportifs. "Nous avons une salle de basket qui fait office de salle de concert que nous allons rénover, explique le maire de Saint-Lô, pas question de la déplacer en périphérie". 

 

MAJ 10.12 : Remis "en mains propres" hier à la mairie : c'est on ne peut plus clair :

 

 

 

La suite, c'est par ici

 

MAJ 02.12 : Malgré la pâleur du document d'origine (volontaire pour empêcher une publication dans la presse papier ?), on voit bien que, comme nous l'avions dit, l'avenue Victor Hugo, le "parvis" de l'EVH et l'Eglise St Jacques ne sont pas les seuls concernés. En effet, le stationnement est également supprimé sur le pourtour de l'église (Rue d'Ouilly et Rue St Jacques), mais que les ravages s'étendent aux rues adjacentes, jusque et y compris la petite place de la Résistance, qui perd aussi la moitié de ses places, alors que cet endroit est très encombré du fait de la présence d'une école privée (privée de racaille, cf Renaud).

Pour les commerçants, y compris le... cinéma LE ROYAL, c'est un désastre.

J'ai vu hier Jean Pierre Gosselin, le président de CAP LISIEUX, l'association des commerçants (qui existe depuis 1999). C'est évidemment notre rôle de défendre nos adhérents. On va donc s'occuper du matricule de nos petits amis, style Crématorium ou Ellipse (deux élucubrations que ce site a largement contribuer à plomber).

Car, contrairement aux mensonges grossiers de la mairie, nos ouailles n'ont aucune idée de la sauce à laquelle ils vont être mangés.

 

 

 

 

 

MAJ 30.11 : Ci-dessous la zone du parvis de l'Espace Victor Hugo. On voit bien la modification profonde du stationnement de la Place Boudin Desvergé, la disparition totale du stationnement devant l'EVH, et au début de la rue au Char. On note que le les "trottoirs souples" sont prolongés dans la rue du 11 novembre (celle du cinéma Le Royal), avec trottoirs élargis, ce qui fait qu'il n'y aura plus non plus de stationnement dans cette rue. Les bistrotiers disposent de possibilités d'installer des terrasses (payantes et réglementées), et seraient a priori d'accord, mais encore faut il que leurs clients puissent se garer quelque part : s'il faut faire 500m à pieds, tu as toujours soif quand tu remontes dans ta chignole. En fait, pour eux, l'impact sera le même que pour tous les autres commerces, -25% de chiffre en moins minimum.

C'est la même chose pour la rue aux Fèvres, mais avec moins d'impact, car il y a déjà très peu de places.

 

 

 

 

MAJ 28.11 : Sur ce plan, on voit bien la structure envisagée. Un stationnement "normal" linéaire à droite sur une partie de l'avenue (20/25 places maximum, en comptant les stationnements réservés (handicapés, banques), et un stationnement sur l'espace dédié aux "promeneurs oisifs" (avec poussettes, déambulateurs, fauteuils roulants, béquilles...) et son "tapis" au sol, qui sera forcément non permanent : il faut quand même permettre aux propriétaires d'appartements de pouvoir s'arrêter pour vider leurs courses, et ça prend du temps de remonter des packs d'eau et de couches pour bébés et vieux incontinents au quatrième sans ascenseur, et aux futurs victimes de dépôts de bilan d'être livrés par les transporteurs, qui n'ont pas fini de râler et bloquer la circulation.

A suivre, et ce sera paillard ! Pour les épisodes précédents, c'est par ici (classement chronologique inverse).

 

 

 

 

MAJ 27.11 : Le grand copain de l'ECHO JOLI, Johnny Briard, conseiller municipal, a publié sur sa page facebook (où figurent les vidéos cocasses de deux conseils municipaux), la coupe de l'avenue Victor Hugo (voir ci-dessous). Ce qui veut dire que le conseil municipal dans son ensemble n'a pas eu ce document. Les larbins, que dis je, esclaves et serfs de la majorité, rampant aux pieds du roitelet autocrate Bonapartiste et son suppôt (de Satan pour certains) Paul Mercier, ont donc voté l'engagement de ce programme délirant, les yeux fermés par de la poudre aux yeux, le lacrymogène du Conducator aux pieds d'argile.

L'ECHO JOLI, qui va de surprises en surprises, continue donc la publication avec deux vues perspectives édifiantes.

Sur la première, l'escroc intellectuel de service (mais ils sont payés pour truander le citoyen, qui est également le cochon de payant, et c'est surtout ça qui les fait bander), a dessiné en tout et pour tout six véhicules garés de chaque côté sur l'avenue, à comparer à la situation actuelle ou pratiquement toutes les places sont occupées dès 10h, y compris par ceux qui ne payent pas mais sont sur la liste des passe-droit (il suffit de suivre les pervenches discrètement dans leur tournée pour s'en persuader, vidéo en cours). Rappelons que côté gauche, les véhicules sont sur l'espace piéton du "tapis unitaire confortable" (comme on dit dans le Marais, jusque dans ses backrooms), donc en stationnement minute. Côté droit, il n'y a bien qu'une vingtaine de place.

La place Boudin-Desvergé (devant l'EVH) est également bouleversée, avec un stationnement dans l'autre sens (50% de perte de places), un talus arboré, la rue qui longe l'Eglise Saint Jacques voit disparaître tout son stationnement (20 places), de la pointe du bar El Sol au magasin de musique, tout dégage (12 places).

Ca, c'est la situation la semaine.

A suivre ! Pour les épisodes précédents, c'est par ici (classement chronologique inverse).

 

 

 

Mais le samedi ?

Et bien c'est là que sera le marché, contrairement à ce que nous a dit le menteur de chez menteur Aubril.

On voit bien les stands des forains occupant la totalité de la place Boudin Desvergé, le reste s'étalant dans la rue Au Char et la moitié de l'Avenue Victor Hugo.

Bien évidemment si le marché dégage de la Place de la République, la foire de Noël aussi. Lapoumeroulie (le patriarche grand chef à plumes des forains) va ressortir son calibre 12, sur la crosse duquel sont gravés trois képis, allez savoir pourquoi. Quand ils sont en bande et bourrés, le profil bas est de rigueur (souvenir d'une réunion houleuse du temps où Philippe Paisant présidait aux destinées de l'association des commerçants (PRO 2000 à l'époque, CAP LISIEUX depuis).

Je déconne comme pour le TGV à Fauguernon ? Pas vraiment !

 

A suivre, et ce sera paillard ! Pour les épisodes précédents, c'est par ici (classement chronologique inverse).

 

 

 

 

 

 

 

MAJ 24.11 : Comme je l'ai déjà souligné, ce dossier est complètement manipulé, un peu dans le registre de l'enquête publique pourrie du défunt Crématorium, paix à ses cendres. Cette coupe (et d'autres vues), ne figure nulle part, et est déjà intéressante à analyser, à tête reposée, ce qui n'est pas possible sur la fameuse console de l'EVH, surveillée de près par le Cerbère de service, uniquement là pour empêcher le dissident de répandre la bonne parole.

Il n'y aura en fait que du stationnement sur la droite de l'avenue, en linéaire sur toute la longueur, au lieu d'un épi partiel. Au maximum 30 automobiles (il faut compter).

Une chose n'est pas dite dans la chanson, si la circulation est conservée dans les deux sens. En cas de sens unique, l'impact sur la fréquentation des commerces sera encore pire.

Sur la gauche et au centre, tout est supprimé. Cette image et un plan montrent bien vaguement un stationnement possible à gauche, mais en fait, c'est sur l'espace piétonnier (5m+4m+2,5m+2m) (le sol est le même sur la bande des 2m), ce sera donc un stationnement minute au mieux, mais rien n'empêchera un gogol vicelard de poser des piquets (les fameuses biroutes à Gigi***), pour virer les bagnoles.

Ci-dessous, tout le stationnement est supprimé jusqu'au parvis de l'église St Jacques qui est allongé et planté. Sur la place Boudin Desvergé (parking EVH), là aussi le stationnement est modifié, avec perte d'au moins 30% des places (à compter aussi).

Pire : dans deux vues perspectives et sur cette image, apparaissent des étals de marché et une sorte de kiosque : c'est clair, le marché va être viré de la place de la République (qui elle, est complètement vidée de son stationnement).

Il faut noter que ce bouleversement complet va nécessiter des travaux pendant au moins un an, et... des fouilles, car l'avenue Victor Hugo est finalement très ancienne (limite du castel Gaulois ?), et de toutes façons recoupée par l'axe de la voie romaine qui passe dans la médiathèque.

Pour les commerçants, comme au Havre ou à Caen, grosses difficultés en perspective, avec dépôts de bilans à la clé.

***Gilbert Goderaux adjoint aux travaux, le "Grand Maître de l'Ordre des Panneaux Solaires" (qui n'ont jamais marché).

 

 

 

 

 

MAJ 17.11 : Toujours pas de réponse. La moutarde me montant au nez, je me suis pointé hier à la "Maison des Projets" pour indiquer à son hôtesse, que ça ne saurait tarder à barder. Exactement comme dans le cas du Crématorium, ce projet délirant est mené par le roitelet et sa brosse, Bernard Aubril et Paul Mercier. Avec les mêmes méthodes nauséabondes. Dans le cas du Crématorium, ils n'avaient pas hésité à harceler chez elle la propriétaire du terrain convoité à plusieurs reprises, essayé d'avoir à l'influence la famille -- qui a résisté -- en leur expédiant flics, huissiers et géomètres en se passant de les prévenir pour leur faire peur. De plus le dossier d'enquête publique était un modèle de putréfaction, ce qui n'avait pas échappé au commissaire enquêteur. La mobilisation des voisins, politiques et citoyens scandalisés avait emporté le morceau : au tas. Depuis, on n'en entend plus parler, pourtant il y a un besoin. Mais les avantages collatéraux sont moins lucratifs ?

Et bien pour ce dossier LISIEUX 2025, ils recommencent, avec strictement les mêmes fourberies :

-- Les différentes plaquettes (EN AVANT, site de la mairie, ce qui a été remis aux élus...) ne comportent aucune vue d'ensemble, très peu de plans et vues perspectives, ni même les horaires d'ouverture de la "Maison des Manipulations". Simplement, quelques belles images d'infographie pour berner le couillon.

-- Quelques commerçants de l'avenue Victor Hugo interrogés disent "qu'ils n'ont vu personne". Dire que les gens sont informés est un mensonge.

-- Le cas de la rue de la Gare est symptomatique : une première réunion avec quelques riverains a eu lieu. Après on nous a dit que le projet a changé, puis qu'il reste quand même à indiquer aux propriétaires ce qui va être fait. Les b.... comptez vous. Car sans les places de stationnement au pied des immeubles (les parkings sont saturés par des migrants** quotidiens), tu perds 30% de la valeur de ton patrimoine. Pareil pour tout le centre ville d'ailleurs.

-- La console elle même est un petit chef d'oeuvre de sournoiserie : c'est le seul support sur lequel sont présents les nombreux plans et vues perspectives, eux même très flous. Il faut donc pour être correctement informé, rentrer dans une arborescence (c'est en fait un site intranet) obscure et confuse, sous l'étroite surveillance de la gardienne***, qui, elle, sait s'en servir et peut donc ainsi berner un sans dents au vieux sang pourri pour éviter de lui montrer les plans et de les décrire. Dans ces conditions détecter les forfaitures et coups tordus de fumier de lapin est une gageure. Cette difficulté à trouver ce qu'on cherche dans cette console est je pense volontaire, soit vraiment le concepteur est le roi de la pagaille informatique. Je travaille sur internet depuis 16 ans, je fais pareil, je dépose.

***Ca me rappelle irrésistiblement la physionomiste de la STASI présente sur le stand de l'Allemagne de l'Est à Nüremberg avant la chute du mur, une mémé fringuée comme Angela Merkel, en vert de gris. A peine tu entrais, qu'elle te parlait avec ton nom. Fortiche. Je dois d'ailleurs avoir un dossier qui traîne quelque part chez les camarades.

-- Ca a d'ailleurs marché avec la gribouille aux ordres de la rédaction unique, qui soit n'y ont vu que du feu, soit ont le poil dans la main qui leur sert de stylo pas vraiment curieux.

**Majoritairement blancs de souche, ne pas confondre

 

 

 

 

NANARD S'EN RAMASSE UNE

 

MAJ 17.11 : Toujours pas de réponse. La moutarde me montant au nez, je me suis pointé hier à la "Maison des Projets" pour indiquer à son hôtesse, que ça ne saurait tarder à barder. Exactement comme dans le cas du Crématorium, ce projet délirant est mené par le roitelet et sa brosse, Bernard Aubril et Paul Mercier. Avec les mêmes méthodes nauséabondes. Dans le cas du Crématorium, ils n'avaient pas hésité à harceler chez elle la propriétaire du terrain convoité à plusieurs reprises, essayé d'avoir à l'influence la famille -- qui a résisté -- en leur expédiant flics, huissiers et géomètres en se passant de les prévenir pour leur faire peur. De plus le dossier d'enquête publique était un modèle de putréfaction, ce qui n'avait pas échappé au commissaire enquêteur. La mobilisation des voisins, politiques et citoyens scandalisés avait emporté le morceau : au tas. Depuis, on n'en entend plus parler, pourtant il y a un besoin. Mais les avantages collatéraux sont moins lucratifs ?

Et bien pour ce dossier LISIEUX 2025, ils recommencent, avec strictement les mêmes fourberies :

-- Les différentes plaquettes (EN AVANT, site de la mairie, ce qui a été remis aux élus...) ne comportent aucune vue d'ensemble, très peu de plans et vues perspectives, ni même les horaires d'ouverture de la "Maison des Manipulations". Simplement, quelques belles images d'infographie pour berner le couillon.

-- Quelques commerçants de l'avenue Victor Hugo interrogés disent "qu'ils n'ont vu personne". Dire que les gens sont informés est un mensonge.

-- Le cas de la rue de la Gare est symptomatique : une première réunion avec quelques riverains a eu lieu. Après on nous a dit que le projet a changé, puis qu'il reste quand même à indiquer aux propriétaires ce qui va être fait. Les b.... comptez vous. Car sans les places de stationnement au pied des immeubles (les parkings sont saturés par des migrants** quotidiens), tu perds 30% de la valeur de ton patrimoine. Pareil pour tout le centre ville d'ailleurs.

-- La console elle même est un petit chef d'oeuvre de sournoiserie : c'est le seul support sur lequel sont présents les nombreux plans et vues perspectives, eux même très flous. Il faut donc pour être correctement informé, rentrer dans une arborescence (c'est en fait un site intranet) obscure et confuse, sous l'étroite surveillance de la gardienne***, qui, elle, sait s'en servir et peut donc ainsi berner un sans dents au vieux sang pourri pour éviter de lui montrer les plans et de les décrire. Dans ces conditions détecter les forfaitures et coups tordus de fumier de lapin est une gageure. Cette difficulté à trouver ce qu'on cherche dans cette console est je pense volontaire, soit vraiment le concepteur est le roi de la pagaille informatique. Je travaille sur internet depuis 16 ans, je fais pareil, je dépose.

***Ca me rappelle irrésistiblement la physionomiste de la STASI présente sur le stand de l'Allemagne de l'Est à Nüremberg avant la chute du mur, une mémé fringuée comme Angela Merkel, en vert de gris.

-- Ca a d'ailleurs marché avec la gribouille aux ordres de la rédaction unique, qui soit n'y ont vu que du feu, soit ont le poil dans la main qui leur sert de stylo pas vraiment curieux.

**Majoritairement blancs de souche, ne pas confondre

 

 

 Exemple typique d'une image d'Epinal façon Témoins de Jéhova pour faire avaler la pilule aux 

couillons de propriétaires de l'avenue et aux commerçants.

 

 

 

 

 

 

 

MAJ 10.10 : Un conseil municipal exceptionnel a eu lieu MARDI 18 OCTOBRE à 20h, Espace Victor Hugo, pour la présentation des élucubrations des dangers publics élus et des hurluberlus boboïdes de cabinets Parisiens qui se sont penchés sur la marche à pieds obligatoire chez les ploucs que nous sommes.

Rappel significatif, dans les documents déjà diffusés on parle de promeneurs, de touristes et de pèlerins en cornettes et pèlerine, jamais des sans-dents qui se lèvent tôt.

Présence indispensable des propriétaires d'appartements en centre ville et des commerçants, car supprimer des places par ci empoisonne la vie des autres par là, avec à la clé baisse de la valeur des biens immobiliers (pas vraiment besoin de ça en ce moment) et baisse de chiffre d'affaire inéluctable des commerces. Les PAYS d'AUGE va titrer toutes les semaines "LA VALSE DES COMMERCES", au suivant.

 

 

 

 

TOUCHE PAS A MON VICTOR

 

 

 

EDITO DU 27.05 :  Prenons un exemple de méconnaissance de la psychologie du roitelet.

L'avenue Victor Hugo est effectivement encombrée de véhicules abonnés (dont bon nombre de commerçants et de membres de leur personnel), de ventouses avec passe-droit du maire, les contractuels(es) lèvent la tête et regardent ailleurs, surtout pour le personnel de la mairie, mais pas que.

Virer toutes ces sangsues est facile : un simple arrêté municipal peut interdire aux abonné(e)s de stationner sur l'avenue, et coller des prunes à ceux qui n'ont pas de ticket est l'enfance de l'art.

Seulement voilà : le roitelet aime bien qu'on lui lèche les bottes pour un petit privilège. Et en plus, cerise sur le gâteau, il sème la zizanie, génère la jalousie, puissant ressort.

Donc, même s'il arrive à supprimer 80 places, il ne se reniera pas et continuera à favoriser les abonnés (cons qui payent alors que pour les potes à Nanard c'est gratos) et ses affidés.

Des preuves ?

Il suffit de suivre avec une caméra qui explore le temps les contractuels dans leur tournée.

Bientôt sur You Tube ?

Transmis en direct live à quelques innocentes, charmantes, mais qui dépendent pour leur bizness de la rotation des véhicules. Quand il ne restera plus que 30 places, on en reparlera.

Quant à lui, il s'en fout, il ne risque pas de faire le parcours depuis le parking de la gare à pieds, vu qu'il stationne soit dans la cour du théâtre (il a la télécommande des bornes), soit devant les grilles de la mairie. Faites ce que je dis, moi je vous emmerde.

 

 

 

MAJ 24.05 : La destruction programmée de l'économie et l'habitat en centre ville est enclenchée. Le cabinet AP5 est évidemment Parisien, et c'est son gros défaut : comment demander à des types qui vivent dans le boucan et les miasmes des particules fines, la promiscuité façon sardine avec la populasse d'en bas multiethnique (la France) et multiculturelle, de songer un seul instant que nous sommes dans une ville absolument pas polluée, sauf par les effluves bucoliques des bouses de vaches, et la lourde odeur du foin fraîchement coupé. Il ne s'agit que d'une AMO (assistance à la mise en oeuvre dans le patos bobo), pour choisir un architecte. Il y a eu foule :  33 dossiers. C'est sans doute que la sinécure est juteuse. Trois sont pré-sélectionnés, de manière sans doute tout à fait démocratique par la bande au Roitelet, qui s'entre déchire allègrement. A mon avis, connaissant le cycliste, il valait mieux être "pote à Nanard" pour décrocher la timbale.

Coût de la poudre aux yeux et de l'enfumage : 66600€ HT.

Comme le dossier présenté aux conseillers municipaux montrait des plans élaborés en grand secret, Jean Pierre Lecomte a pu tenir un discours cohérent, et a été précis sur le nombre de places de parking supprimées par cette folie douce : 70 sur l'avenue (rebaptisée Cours, ça fait plus classe), et 10 devant le parvis de l'espace Victor Hugo. C'est énorme, et condamne à la fois les commerces et l'habitat, avec des pertes de valeur des pas de porte et des appartements, déjà un peu obsolète (reconstruction sans ascenseur). A cela il faut ajouter les 39 logements qui ont échappé par le tour de passe passe de LINTERCOM, soit 45 places à créer selon l'ancien barème (recours toujours non jugé par le TA). Le déficit futur est donc de 125 places, mais comptez sur ces dingos pour nettoyer la rue et la place de Résistance, et le tour de la médiathèque pour piétonniser et créer des "espaces ludiques".

Pendant le discours implacable de Jean Pierre Lecomte, Kaa Soulbieu était très agité et bougonnait, prêt à couper le sifflet à l'intolérable argumentaire Cartésien de la bête noire de la bande. J'étais à deux doigts de me lever (c'est illégal) et de lui demander à haute et intelligible vois de fermer son clapet et de laisser terminer. 

Ce qui est fantastique dans cette affaire, c'est que comme d'hab les riverains sont mis devant le fait accompli d'un coup scélérat mijoté entre conspirateurs, et que les plaquettes réalisées par des spécialistes de la manipulation des populations laborieuses ne parle nulle part de "travailleuses travailleurs" (5000 en centre ville), commerçants et habitants, mais de promeneurs, touristes, glandus désoeuvrés, "usagers ludiques", pèlerins, bref des oisifs à charge.

Quand on demande aux commerçants de l'avenue Victor Hugo s'ils ont des pèlerins pour clients, les réponses sont évasives. Bon il y a bien des cohortes de scouts toujours près, qui défilent en chantant des psaumes et cantiques à la gloire de Sainte Thérèse, derrière la croix et la bannière de rigueur, sous la férule de la calotte en soutane ou sous la bure, en sandalettes ça fait plus prolo. Des mauvaises langues laïcardes insinuent que certains s'arrêtent pour acheter des bonbons allez savoir pourquoi. C'était le quart d'heure anticlérical et ça soulage.

Il y a tout de même un hic, et de taille : les pertes acceptables d'un tel projet (stationnement, mais pas que) sont généralement (par la jurisprudence) de 20%. Et c'est sans doute cet argument qui a tant agacé, car là on est à 62%. Cette dinguerie d'irresponsables peut donc très bien se heurter au véto du préfet. Car il ne faut pas croire qu'une mairie fait ce qu'elle veut, elle a au dessus d'elle une tutelle qui effectue un contrôle de légalité des décisions prises. Sinon ce serait trop facile.

 

 

 

MAJ 14.05 : Mes biens chères soeurs, mes biens chers frères, une belle bataille politique est engagée : sauver le stationnement dans le quartier Victor Hugo, donc le commerce et les emplois du centre ville.

Cette campagne s'intitulera "Touche pas à mon Victor" (Hugo).

Un autre génie bien Français, Audiard, nous a prévenu "les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît".

Sans avoir consulté personne, surtout les riverains, les commerçants et les nombreuses entreprises du centre ville (dont la mairie et les administrations, les médecins etc...), trois ou quatre élus ont entrepris pour des raisons qu'ils vont devoir nous expliquer, la destruction totale du centre ville.

Après, le roitelet va nous faire son esbroufe habituelle pour organiser de vraies fausses concertations, en nous glissant bien profond son "c'est pas moi c'est les autres".

Dans une ville encombrée et étouffée par l'automobile, je veux bien, mais à Lisieux, franchement, on se déplace en voiture très facilement, et cela a toujours été, vu les nombreuses charrettes présentes sur les cartes postales anciennes. On voit des vaches depuis la place Mitterrand.

Le boboïsme d'écolos d'opérette ne nous concerne donc pas, c'est même le contraire qu'il faut faire.

Evidemment, ces gogols se font caresser dans le sens du poil par des cabinets d'étude, au discours pré-mâché, à grand renfort de phrases creuses et de concepts fumeux. Plus tu fais ton lèche cul, plus la facture est crédible. Plus c'est gros, plus ça passe (d'un autre génie, Georges Séguy).

Autre élément : la nébuleuse LECLERC a tout intérêt à dézinguer le centre ville et a pour cible la destruction des "locomotives" du centre ville : DARTY, EURODIF, MONOPRIX, pour les remplacer par ses propres marques, en périphérie. A la manoeuvre, Nathalie PORTE, choisie par le roitelet (et le looser Rodolphe Thomas). Des types qui font 10 milliards d'€ de chiffre d'affaire savent très bien qu'en supprimant des parkings, les clients désertent.

Maintenant, c'est à vous de voir.

Ou vous me suivez, ou vous allez trinquer.

Je vous ai déjà dézingué le Crématorium (pas tout seul), et le Multiplex est en bonne voie de passer à la trappe, mais faudrait quand même voir à me donner un petit coup de main.

 

 

 

MAJ 14.05 : Le dossier ci-dessous va être mis au vote en conseil municipal mardi 18 mai 2016 à 20H.

 

 

 

Pour moi, le centre ville est d'abord un espace de TRAVAIL, pas un terrain de jeu pour oisifs ou tarés qui se prennent pour des écolos. Le stationnement central sur l'avenue actuelle serait supprimé (80 places), les trottoirs élargis, avec plantations.

Ce qui n'est pas dit, c'est que vu l'ampleur des travaux, ça va être bouillasse et travailleurs détachés pendant au moins un an. Taux de dépôts de bilan chez les commerçants, environ 50%, comme au Havre ou à Caen lors de l'aménagement du tramway. N'oublions pas l'opération louche de réhabilitation de l'ancienne maison de retraite et de l'hôtel de la rue au Char, 35 appartements, qui n'a pu se faire que grâce à la diligence suspecte de Paul Mercier qui a fait voter par les nains de jardins à Nanard de LINTERCOM la suppression de l'obligation de créer des places de parking (le recours présenté par Jean Pierre Lecomte est pendant).

Selon l'ancien système, le promoteur, que je soupçonne de s'en être mis plein les fouilles (proc es tu là ?), aurait dû créer ou payer pour 50 places. On en est donc pratiquement dans ce périmètre à 150 places au tas. Les propriétaires riverains sont donc spoliés, car pour revendre, la disponibilité en parking est un critère. Perte estimée sur la valeur des biens 20%. Par contre les impôts ne vont pas changer. Parmi les b.... comptez vous, les futurs  acheteurs ou locataires de la rue au Char, le promoteur va évidemment oublier de leur dire que le parking le plus proche sera celui de la gare.

Le stationnement sera également supprimé sur toute la place devant l'espace Victor Hugo (20 places env.), les bistrots vont être ravis.

L'argument selon lequel cela favoriserait la descente en ville des touristes est complètement débile : les pèlerins prennent de l'âge, les curés perdent des âmes, et le fauteuil roulant sera sans nul doute le futur moyen de transport des vingt égarés par jour qui descendront à fond la caisse de la basilique. Car après faut remonter.

 

 

C'est avec cette image qu'on voit qu'on a affaire à des enfumeurs. Il n'y a pas de logo pour "TRAVAILLER", "COMMERCER", "VIVRE EN VILLE".

 

 

 

 

 

Ils vont donc aussi semer leur chienlit rue de la Résistance, supprimer des places, et piétonniser le tour de la Médiathèque (là je suis plus ouvert à la discussion).