Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps

 

        

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LE CRÉMATORIUM

 

AUX URNES FUNÉRAIRES CITOYENS !

 

 

MISE À JOUR DU 22.01.2014

 

 

 

CRÉMATORIUM : AVIS DÉFAVORABLE !

 

http://www.calvados.gouv.fr/IMG/pdf/Rapport_CE_signe_060114-1.pdf 

 

 

 

MAJ 22.01  : C'est un coup très dur pour Aubril, et son exécuteur des basses oeuvres Mercier (et notre vipère dont on ne verra plus le chignon).

Le commissaire enquêteur a rendu deux avis défavorables pour l'implantation d'un Crématorium près du cimetière, enclavé dans HOTVIL, sur le terrain de la famille TRICHET.

C'est une victoire glorieuse pour la démocratie, le respect de la Loi, dans ses règles relatives aux enquêtes publiques.

L'argumentation du commissaire enquêteur est très sévère sur le comportement des sinistres Aubril et Mercier, l'absence de concertation, de présentation préalable du projet et des choix possibles. Il est certain que l'argumentation étayée et compétente de Jean Pierre Lecomte, notre respecté "Vicomte de Lessard et le Chêne", cité dans le rapport, a emporté une partie de la conviction du commissaire.

J'ai apporté ma contribution en diffusant un tract aux riverains, à mes frais, par altruisme envers la famille Trichet, que j'estimais injustement spoliée, et par respect pour les habitants de HOTVIL, qui n'avaient pas à subir ces nuisances, cadet des soucis d'Aubril.  Voir également mon argumentaire, remis au commissaire. C'est le fruit d'une expérience politique et de 40 ans de militantisme écologique.

N'en déplaise à certains détracteurs qui me trouvent une image "sulfureuse", qu'ils en fassent autant. J'ai des convictions, le consensus mou et le fatalisme, c'est pas mon truc. Et n'en déplaise, s'il faut que cela aille mieux à Lisieux, c'est pas avec des pompom girls et des michtons gueules d'amour façon télé réalité qu'on va y arriver.

Aubril, qui vient de diffuser un document de "bilan", qui mélange allègrement poireaux municipaux, carottes privées, navets départementaux, et patates d'Etat, une vraie soupe, omet de signaler que c'est la troisième fois de suite qu'il se ramasse une grosse baffe : l'échec du Multiplex place de la République, la déroute de l'Ellipse, et maintenant la Bérésina Crématorium. Pour un type qui veut "continuer comme avant" et donc se planter à chaque fois, c'est pas très électoral. Remarque au passage, j'ai participé dans les trois dossiers au débat démocratique citoyen, par le truchement de l'association des commerçants CAP LISIEUX (qui a fait suite à PRO 2000 et PROCOM) où je suis administrateur depuis 16 ans (déjà) pour les deux premiers, et à titre d'écolo de 40 ans pour le troisième.

Car la suite des "replis élastiques" est déjà dans le tuyau avec le parking de la gare, qui, dans l'état actuel du PLUI, doit être associé à des habitations nouvelles ou des bureaux. Le dossier du parking tombera comme un fruit mûr si le PLUI n'est pas modifié au préalable, avec enquête publique.

A suivre...

 

 

 

ENQUÊTE PUBLIQUE

 

 

 Dossier d'enquête publique : http://www.calvados.gouv.fr/projet-de-construction-d-un-a4712.html 

 

 

 

 

MAJ 29.11  : Voici mes observations dans le dossier d'enquête publique CREMATORIUM. Bonne lecture, c'est sopo, mais ça fait du bien !


Monsieur le Commissaire Enquêteur,


Vous trouverez ci-dessous mes remarques concernant ce dossier.

DE MON INTERET A AGIR
J’ai milité pendant 20 ans en tant que membre du MEI (Mouvement Ecologiste Indépendant).
Je suis adhérent au MODEM depuis 3 ans.
Je suis candidat pour être conseiller municipal aux prochains élections.
Je soutiens également à titre personnel la famille TRICHET du fait du comportement
inadmissible du maire de Lisieux Bernard AUBRIL et de son adjoint Paul MERCIER.


SUR LA FORME
Bernard AUBRIL et Paul MERCIER se sont rendus sans prendre rendez-vous chez la propriétaire du terrain convoité, une vieille dame de plus de 80 ans qui habite les lieux depuis toujours. Ceci à plusieurs reprises. Le motif réel de leur visite inamicale a été caché à Mme TRICHET, au départ il s’agissait d’étendre le carré du souvenir sur 20m, puis 40 etc...
Ce n’est qu’ensuite que la famille a découvert qu’il s’agissait d’un projet de Crématorium.
Des manœuvres qui peuvent être considérées comme de l’intimidation ont été entreprises, irruption de personnes, venue de la police.
Le terrain --agricole-- a été évalué à 7700 Euros sur un projet qui se chiffre à 3.2M d’Euros, même si c’est légal on peut parler de spoliation.
Lors du passage en conseil municipal, les conseillers ne disposaient pas des éléments d’évaluation de la situation réelle, et certains disent ouvertement regretter leur vote.

SUR LE FOND
Personne ne conteste la nécessité d’un Crématorium à Lisieux, et sa viabilité, compte tenu de la population concernée.
Seul le lieu est inadapté.
C’est une opération juteuse, chère par rapport à d’autre installations de même type, dont on ne sait pas si elle sera gérée en régie ou affermée.
On peut se poser légitimement la question de savoir si la motivation principale de la municipalité est financière, le lieu permettant la perception de 500 Euros par crémation au profit de la ville.
Compte tenu de l’étendue de la zone “de chalandise”, seul un petit nombre d’urne seront “enterrées” ou dispersées au cimetière de Lisieux. Lier les deux entités n’est ni une obligation, ni rationnel.
La crémation étant un moment traumatisant pour les familles, il convient que le lieu soit serein, calme, paisible, propice au recueillement et à l’intimité. Le meilleur exemple du genre sont les cimetières militaires Américains.
Hors le terrain proposé est enchâssé dans la concavité d’une cité HLM de 6000 habitants, le long d’une rue très passagère et très bruyante (page 10 “il s’agit d’un grand axe au débit important”), j’ai pu le constater sur place, accidentogène, à 150m d’une école et d’une maison de retraite, ce dernier détail faisant désordre.
Paradoxalement le “Rapport de Présentation” indique page 6 : “Mais, en regard de l’affectation future du bâtiment, il importe d’éviter la proximité immédiate d’une zone d’habitation, voire d’une zone commerciale ou industrielle, de tels environnements n’étant pas propices au recueillement que demande une cérémonie d’adieu”.
On croit rêver.
Il y a “une belle vue”, ce qui fait une belle jambe aux “macchabées” et à leur famille.
Un seul four est prévu. Les spécialistes indiquent que ce sera insuffisant à terme.
Il est clairement indiqué que la filtration “conforme aux normes” ne peut être parfaite.
Les polluants sont connus : mercure, dioxines, furannes, qui ont tous des effets cumulatifs et sont très toxiques à faible dose.
On concevra qu’un parc arboré est plus convenable qu’une cité HLM, la contamination ne se retrouvant pas dans les assiettes.
Les normes, on connaît avec le nucléaire, où elles ont été divisées par 1000 en trente ans.
Les filtres, plus personne y croit.
Il y a une cheminée de secours, non filtrée, bien tentante.
La cité de Hauteville est située en plein dans l’axe des vents dominants, assez puissants sur ce plateau dégagé.
La limitation réglementaire de la hauteur des cheminées fait que celles-ci seront situées à la hauteur du troisième étage des immeubles en face, avec des tours de 12 étages.
Les riverains citent la pollution de la centrale thermique au bois, dont les fumées sont également très filtrées, avec des cheminées trois fois plus hautes.
L’absence d’odeur, je n’y crois pas.
L’impact psychologique indéniable sur les riverains et les enfants des écoles est difficile à mesurer mais réel.

DE L’ETUDE D’IMPACT
Le projet a été placé vicieusement en bordure nord est du quartier des Trevett, au sud de Lisieux. C’est une manipulation intellectuelle. Ce projet concerne le quartier de Hauteville et ses 6000 habitants.
Les photos relèvent du même procédé, les immeubles sont habillement pris de loin, derrière des arbres qui seront abattus.
Pour les vents la page 30 est significative, là aussi la flèche a été sournoisement orientée (erreur volontaire de 25° vers le sud) par rapport au chiffre de 240 (jours). De plus, les données disponibles sur le net pour Deauville montre une rose des vents différente, SW/SSW.
Air, eau, sites classés, flore, faune, paysage, remplissage pour noyer le poisson.
Le choix des point de mesure de bruit est une escroquerie, très bas dans la pente, derrière la maison du gardien, et éloigné de la route dans la cour de l’école. Une mesure honnête aurait consisté à mesurer le bruit sur le parking actuel du cimetière, car c’est ce bruit que vont ressentir les cortèges.
On est alors dans les 70-80 décibels.
Apparemment le plan des distances de la page 70 a été ajouté, on comprend pourquoi.
La hauteur de cheminée sera d’environ 8m soit la hauteur d’un troisième étage.
Les gaz vont donc circuler entre les immeubles en face. Sympathique.
Nul part n’est évoqué l’odeur de “cochon grillé” ressenti personnellement lors de l’incinération d’une personne, le vent ce jour là se dirigeait vers le parking. Il faut dire qu’il n’y a que le nez humain comme instrument de mesure.
La hauteur des immeubles donnera une vue sur la toiture et ses installations bruyantes de climatisation, et le bruit des ventilateurs d’éjection des gaz sera fatalement perceptible, surtout s’ils ne fonctionnement qu’à chaque crémation. Impact psychologique garanti.
Les immeubles sont “supposés être isolés phoniquement”, mais personne n’a eu l’idée de le vérifier, comme par miracle.
L’étude d’impact passe sous silence l’impact (!) sur le marché immobilier (perte de 50% dans les 100m, 20 à 30% jusqu’à 500m), hors plusieurs centaines de maisons et d’appartements sont concernés, dont un immeuble mis en vente juste en face !
L’impact psychologique, non étudié, est connu des associations crématistes. C’est insidieux et difficile à mesurer. Hors les crémations seront connues de tout le quartier du fait du passage du cortège sur l’Ave Jean XXIII et le stationnement des véhicules.

CONCLUSION
Les méthodes peu reluisantes utilisées rendent ce projet suspect.
L’implantation est la pire qui puisse être compte tenu des vents dominants et de son insertion dans la concavité d’un quartier résidentiel avec une école et des maisons de retraite à proximité.
Les conditions de calme et de recueillement ne sont pas réunies du fait de l’intense circulation de l’Ave Jean XXIII.
Il convient de ne pas autoriser ce projet.


A ANGELINI

 

 

 

 

 Calvados Habitat rénove cet immeuble pour mettre en vente les appartements, à 50m du Crématorium.

Ils peuvent diviser les prix par deux. Quand ils s'y mettent, ils sont vraiment très très bêtes les HAJC.

 

MAJ 20.11  : La mobilisation des riverains samedi dernier fut correcte compte tenu du jour et que "les gens" en général et les Augerons en particulier, ne sont pas très enclins à la manif et à montrer leurs opinions dans le journal.

L'article de OUEST FRANCE était honnête, mais les mots qui fâchent, sur lesquels j'ai insisté en tant conférencier improvisé, comme mercure, dioxines, furannes brillent par leur absence. Pas un mot non plus sur la limitation de la hauteur de la cheminée (réglementaire), niveau troisième étage des immeubles en face, qui auront donc vue sur le toit.

Plusieurs personnes citent le cas de la chaudière à bois de la centrale, aux cheminées deux fois plus hautes, qui apparemment ne fume pas (vapeur d'eau), mais ça pique les yeux et sent le papier brûlé, malgré les filtres pour retenir les poussières.

Le coup du filtre qui arrête la pollution et les odeurs, vous y croyez depuis Fukushima ?

D'ailleurs dans le dossier, il est bien indiqué "qu'on implante pas ce genre d'installation à proximité d'habitations", 6000 à Hotvil, plus école et... deux résidences pour personnes âgées. Bon ça fait moins loin à aller pour accompagner les voisins, mais bonjour l'impact psychologique...

Dans l'Eveil, PAS UN MOT, pourtant une pigiste s'était déplacée avec son photographe...

Pour Le Pays d'Auge, service minimum, mais les mots qui font peur figuraient bien dans l'article.

Evidemment, la pression occulte sur les portes plumes est à la hauteur de la juteuse opération à 3.2€ (au départ) HT, et des 500€ touchés par la ville à chaque expédition dans l'au delà, avec passage dans l' atmosphère, et élévation dans les cieux.

Détail cocasse : les fumées sont en parties filtrées, et les résidus hautement toxiques sont mis en fût comme un déchet nucléaire et expédiés en décharge de classe 1. Bref, une partie du macchabée n'est pas rendue à la famille éplorée.

Comme l'installation de filtration peut tomber en panne, une cheminée de secours est prévue. Et là c'est direct live pour les fumées et odeurs de cochon grillé. Ambiance... Et puis c'est tellement tentant d'utiliser la cheminée de secours !

Dernière précision, j'ai dit que l'opposition avait voté pour, ce n'est pas exact. Mea culpa. Mais il y avait plein de socialistes à la réunion, ils auraient pu me le dire. Quant à EE-Les Verts, ça les intéresse pas, l'écologie ils en ont strictement rien à faire, ce qui les intéresse c'est capter les voix des électeurs sensibles à l'écologie pour le compte du parti socialiste. Et oui, ils se foutent de votre bobine depuis quinze ans.

 

 

MAJ 18.11  : Le point de vue de l’Association Crématiste du Calvados

Selon vous la construction d’un crématorium à Lisieux est-elle Justifiée ?

Nous avions déjà souhaité aborder ce problème avec l’ancienne municipalité de gauche. Il n’est donc pas nouveau.

Sur le secteur augeron, dans un rayon de 30 km autour de Lisieux, le nombre de décès par an se situe aux alentours de 2500. Il devrait être en légère augmentation bientôt avec le pic de mortalité attendu avec la fin de l’allongement de la durée de vie. Si l’on considère qu’actuellement le recours à la crémation est de l’ordre de 30% partout en France, on peut estimer qu’on peut éviter à plus de 800 familles de faire un long trajet pour se rendre à un crématorium à Caen, au Havre ou à Evreux en ayant un équipement sur place. Un crématorium au centre du Pays d’Auge devient une nécessité.

Vous semblez, cependant, en désaccord avec le projet actuel ?

Plusieurs raisons opposent l’Association Crématiste au projet actuel :

D’abord, il cache la réalité des prévisions des besoins. Si l’on sait que le fait d’avoir un équipement sur place (on l’a vécu à Caen) facilite le recours à la crémation et que la prévision de ce recours, selon les contrats obsèques, dépassera les 50% des décès après 2025, on sait déjà que le projet n’absorbera que difficilement et de manière fiable la totalité des crémations sans avoir un deuxième appareil. Ce projet est vu trop petit et trop cher pour le service à en attendre dans un avenir proche. Un investissement public avec une vision à long terme aurait été souhaitable, même s’il est géré par un service de pompes funèbres privé. On pourrait s’étonner d’ailleurs que la ville ne fasse pas appel à sa régie municipale de pompes funèbres, mais c’est un autre débat.

Ensuite, on pourrait s’étonner de son implantation simpliste, à proximité directe de l’espace cinéraire de Lisieux qui sera amené à s’étendre, mais ne le pourra plus en raison de l’implantation du crématorium. On sait que les autres cités augeronnes s’équipent aussi de sites cinéraires, sans être en contact direct avec un crématorium. L’argument de proximité ne tient pas. De plus, même si le cimetière est là depuis longtemps, il se situe maintenant en pleine zone urbaine, avec des riverains qui ne souhaiteraient pas voir ajouter d’autres sources de pollution.

Un crématorium est un équipement de dégradation rapide des corps par la chaleur. Tous les proches des défunts vivent un choc brutal de séparation au moment de la mise à la flamme qui ne s’accepte qu’avec la remise des cendres. Il est donc souhaitable qu’on mette une certaine distance, ensuite, entre le lieu de dégradation et le lieu de sépulture qui doit être celui du calme apaisant. Les crématistes lexoviens qui veulent une sépulture dans leur cimetière ont droit au même espace de recueillement que les autres. Il faut trouver un autre site d’implantation du crématorium.

MARCK Eric, président AC14

N.D.LR. : cette association est à l'origine du Crématorium de Caen et sait donc de quoi elle cause.

Le projet est effectivement très cher par rapport à d'autres équipements similaires où l'on tourne autour de 1.7M€.

Lisieux 3.2€ (au départ), malgré une spoliation caractérisée de la famille Trichet dont le terrain ne vaut que 7700€. Vous avez bien lu. C'est une terre agricole qui par un coup de baguette magique devient constructible...

 

 

 

MAJ 14.11  : Le tract ci-dessus, en forme de faire part "allégé", a été distribué hier à HOTVIL, prioritairement à ceux qui seront sous les vents dominants de cette installation classée pour l'environnement. Distribution gratuite de mercure, dioxine, furannes, et odeurs de cochon grillé en prime.

Pris par surprise, la réaction des "potes à Nanard" n'a pas tardé, des tracts et des courriers ont été déposés cette nuit dans les boîtes aux lettres de Mme Veuve Trichet et ses... voisins. Dans le noir, les corbeaux anonymes se sont gourés de boîtes. Qui sont ces oiseaux de mauvais augure, des gros bras fanas Nanard qui n'ont rien à envier aux "fafas" ?

Des militants de gôôôche dont les élus PS, PC et EE-LES VERTS ont voté en coeur avec AUBRIL, ses quatre second couteaux et les soubrettes, trouillards et potiches qui s'écrasent et obéissent au chef ?

Chef Bonapartiste qui va magouiller pour payer à ceux qu'il veut exproprier, 7700€ de prix de "agricole", un terrain, qui, devenu constructible après modification du PLU en vaudrait 50 fois plus s'il était transformé en lotissement ?

Si ce n'est pas de la spoliation, c'est quoi ?

 

 

 

 

CRÉMATORIUM : SOUVENIRS, SOUVENIRS

 

Question, dans quelle urne se trouve les cendres de la DUP du Préfet ? Non, ce ne sont pas des potiches !

 

Continuons la narration des événements vu par les victimes : "Voici quelques éléments sur ce qui s'est passé ces derniers jours sur le terrain convoité par la mairie pour la construction d'un crématorium. Mardi 28 mai, visite de 2 policiers à 8h30 le matin. Mercredi 29 mai, visite de 2 policiers à 10h le matin, bris de clôture et arrivée d'un engin à chenille destiné à forer le terrain. Jeudi 30 mai, début des travaux, prélèvement de terre, 3 forages de 10 mètres de profondeur (reconnaissance géologique avec essai "pressiométrique", mise en place d'un tube "piézométrique" devant rester là une année). Ce même jeudi 16H arrivée d'un huissier de Pont-Lévêque mandaté par notre famille (les 2 huissiers de Lisieux se sont faits porter pâles). L'un d'entre eux nous a avoué avoir fait l'état des lieux de ce terrain 4 semaines avant travaux et cela sans autorisation. Notre huissier a fait son travail, pris des photos, demandé des pièces d'identité et mis à la porte les 2 ouvriers avec ordre de ne revenir que pour récupérer les engins.

Vendredi 31 à l'aube, notre courageuse voisine et moi-même étions sur le terrain pour faire respecter la loi. Les 2 ouvriers arrivent pour travailler disent-ils. Après un appel à leur société, ils nous demandent de les laisser travailler et que seuls les policiers pourraient les déloger. Nous les avons mis en garde et pris quelques photos. A 9 h arrivent 2 personnes mandatées par la mairie ainsi que le gardien du cimetière (?) je pense que sa présence était utile pour un effet de "meute".

Après la photo de groupe : 2 ouvriers, 2 envoyés spéciaux, un gardien de cimetière et moi-même, ils nous ont fait part de leur intention de finir au plus vite le chantier ( sans doute pour nous rendre service...). Je leur ai demandé, devant témoin, de cesser immédiatement les travaux et de quitter le terrain. Les travaux ont cessé et les téléphones portables sont entrés frénétiquement en action pendant 1h. Après moult contacts ils ont pris la sage décision de partir remettant sommairement en état le terrain. L'état du terrain ravagé par les chenilles de l'engin ne nous importe pas puisque l'herbe repoussera.

Par contre, l'impact psychologique sur notre mère ce vendredi a été très fort, aussi fort que le mercredi 28 quand 2 policiers sont venus vers 8h30 du matin lui demander de ne pas entraver l'avance des "légitimes" travaux.

Ironie du sort, 70 ans plus tôt à Caen, à 8h30, 2 occupants en uniforme, en bottes, la cravache à la main, ont demandé à ma grand-mère de partir sur les routes avec ses 3 enfants (l'exode de 2 mois passa par Lisieux). Ce 6 juin 44, âgée de 10 ans, ma mère n'a eu que le temps de prendre les vêtements qui lui tombaient sous la main. 70 ans après, elle a eu cette phrase, après le passage de ces uniformes lexoviens "je dormais, je n'ai eu que le temps d'enfiler la première robe de chambre qui me tombait sous la main".

Ce que ne savent pas ceux qui ont obéi aux ordres, c'est qu'une heure après leur départ des chapelets de bombes tombaient sur la tête de ma mère et que la terre sous ses pieds tremblait comme le jour du 6 juin 44. C'est dans cet état de prostration, à 9h, que sa courageuse voisine l'a trouvée.

Ces quinze derniers jours ont été pour toute la famille denses, pleins d'enseignement et nous confortent dans le fait que ce terrain est le moins adapté à la construction d'un crématorium.  L'affaire est à présent aux mains de l'avocate de la famille, de notre huissier et du juge du tribunal administratif.

Petit rappel : un premier recours a été fait pour annuler la décision du conseil municipal de construire un crématorium avenue Jean XXIII, recours en annulation suivi d'un recours en suspension. Un autre recours a été fait en opposition à l'arrêté préfectoral autorisant la mairie à pénétrer dans les propriétés privées pour des études de terrain, ce recours a été appuyé par l'avocate, sans laquelle il n'aurait pu aboutir, ce recours a été fait dans les temps."

La parole est à la mairie.

Et aux journalistes...

 

 

 

 

6ième épisode

 

CRÉMATORIUM : DU POULET GRILLÉ ?

 

 

Nous sommes à un an des municipales, et la bande des cinq fait le forcing pour faire avancer ses dossiers. Le sujet a été évoqué hier en conseil municipal, des décisions du maire ayant été prises pour commander des études de sol et de paysage sur le terrain des consorts Trichet. Gérard Butel a, en terme diplomatiques, rappelé que leur comportement vis à vis de la personne de Mme Trichet, 80 piges aux prunes et 40 kilos toute mouillée n'était pas un modèle du genre. Ce qui ne l'empêche pas de trouver l'emplacement adéquat. On verra ce qu'en penseront les 6000 électeurs sous le vent au mercure de ce qui n'est qu'un projet.

Pour avoir rencontré cette dame (en présence de sa famille), je puis vous assurer qu'elle est complètement bouleversée par cette calamité qui lui tombe dessus sur ses vieux jours.

Les consorts Trichet ont formé un recours contre la DUP au Tribunal Administratif, action qui bloque normalement la procédure en attendant un jugement qui peut prendre six mois. Pour Aubril, c'est intolérable, et comme personne ne l'arrête dans son élan, il continue. L'exemple du monument aux morts et de son comportement avec son véhicule en ville est quand même significatif.

Voici ce que nous dit un membre de la famille : "ce matin (mardi 28.05) à 9H deux policiers ont accompagné deux géomètres qui ont arpenté le terrain. Ma mère est intervenue en disant qu'elle n'avait pas été prévenue et qu'elle voulait qu'ils s'en aillent. Ils ont continué leur travail et sont repartis comme ils étaient venus sous les barbelés. Un cinquième homme qui n'a pas décliné son identité a prétendu avoir le droit de venir sur le terrain, référence faite à l'arrêté préfectoral. Or cet arrêté a été contesté par un recours au tribunal administratif de Caen, dans les délais impartis, par la famille Trichet. Résultat de la procédure dans 6 mois. Ce même jour dans l'après-midi 2 ouvriers ont brisé la clôture pour faire entrer un engin à chenille pour faire des forages. Ils sont repartis sans faire de forage suite à l'intervention de la voisine de ma mère, en laissant l'engin. L'avocate devait ce soir faxer à la mairie les conditions légales pour une telle intervention, présence d'huissier notamment, avant et après toute intervention".

Et la veille : "Une avocate suit notre dossier, elle nous a soutenus dans le recours fait au tribunal contestant l'arrêté préfectoral qui autorise la mairie à faire des explorations sur le terrain appartenant à notre mère. Malgré cela, deux personnes se sont introduites sur le terrain jeudi 23 mai dernier, du côté cimetière, en passant sous les barbelés et évidemment sans prévenir. Elles sont reparties après que ma mère les aient chassées en repassant sous les barbelés comme elles étaient venues. Il y a pourtant à cet endroit deux panneaux propriété privée et des fils barbelés. Elles seraient venues ont-elles dit pour faire des relevés? Elles semblent ignorer que la prorpiété a une entrée normale au no(***) de l'avenue Jean XXIII. Notre mère est insécurisée par ce genre de dérapage."

L'ECHO JOLI pour une fois, va rester circonspect, et poser des questions : 

-- Le recours a t'il été jugé lundi au Tribunal Administratif comme le disent certains ?

-- Ce recours non jugé est-il suspensif ?

-- S'agit-il encore une fois d'un coup de force illégal pour harceler Mme Trichet ?

-- Que faisaient là deux policiers, dont la présence a profondément affecté Mme Trichet, alors qu'il faudrait un huissier ? Qui a donné les ordres ?

Bref, c'est le pataquès.

A suivre...

 

 

 

5ième épisode

 

MAJ 08.02 :  Ci-dessous, le courrier reçu par la famille. Alors qu'ils n'étaient au courant de rien, pas de papiers, ils ont appris cette histoire par la bande.

Le premier réflexe a été de se rendre à la mairie. Où évidemment on a essayé de les jeter. Le ton est monté, menace d'appeler la police, un dénommé Thuillier, un "malabar" est rentré dans la danse. Ambiance...

Finalement, ils ont reçu un dossier décrivant quand même de manière précise le projet (plan ci-dessous) et des données techniques assez précises.

Les distances citées (75m) sont à vérifier.

Le courrier est en soi un petit chef d'oeuvre d'hypocrisie, de fourberie, de tartuferie : voilà des gens qui découvrent qu'ils vont se faire virer comme des malpropres et à qui Firmin et sa brosse Paul Mercier donnent du "chère madame", et présentent leurs voeux !!! Abjects avec ça.

Il était d'ailleurs temps que les Trichet protestent, car la date d'échéance du recours contre la délibération est très courte : deux mois (échéance 21.02).

On remarque d'ailleurs que la réponse a mis trois semaines (11 janvier). 

Cette délibération a été votée par 22 voix, les potiches et carpettes de la majorité, à mettre tous dans le même sac comme complices de ce forfait, Nicolle CURCIO a voté contre, l'opposition s'est abstenue.

Ainsi, les soi-disant défenseurs de l'environnement d'EELV, les gauchards qui se prennent et veulent faire croire qu'ils sont écolos, n'ont même pas voté contre.

On nous parle quand même de rejets de dioxines et furanes, de mercure (plombage des dents, et oui).

L'attitude de la gôôôche est bien timorée, on a connu Serge Loiseau plus tonique.

Quant aux odeurs de cochon grillé, pas un mot.

Il y a quand même une école à 200m sous les vents dominants. On se remue le popotin dans les barres de HOTVIL ou pas ?

Sur 8000 personnes concernées, y en a t'il qui vont protester ? Bon, évidemment, après, pour les bons de la mairie, c'est moins facile.

Et puis, c'est Paul Mercier qui attribue les logements. Nanard et sa vipère on les connaît, mielleux devant, sauvage et cruels par derrière.

 

 

 

 

4ième épisode

 

MAJ 07.02 :  Deux éléments, d'une part les vents dominants à Deauville (St Gatien) et l'emplacement pressenti (point rouge sur la vue d'avion).

Tout HOTVIL bénéficiera des effluves mortifères, y compris l'école située à 200m. Bravo pour le discernement dans le choix de l'emplacement.

Bon maintenant, il va falloir habiller la mariée pour que le ¨Préfet avale sa casquette. Les feuilles de chêne, c'est indigeste.

 

 

3ième épisode

 

MAJ 06.02 :  C'est donc demain jeudi 7/02 à 14h que sont convoqués sur les lieux du crime les cabinets d'étude qui vont toucher "moins de 90000€" pour dire que les macchabées cramés à 800° n'ont pas d'odeur sauf celle du fric que cela leur a coûté (3 à 4000€, dont 650€ de jackpot dans les caisses de la mairie).

Objectif : faire avaler des couleuvres au Préfet, qui doit signer la DUP, et endormir le riverain.

A Caen, pour les riverains, situés pourtant à 350m, la direction du vent est devenue au fil du temps obsessionnelle, un peu comme pour les inondations. J'ai personnellement été inondé une fois, pas plus traumatisé que ça, ce sont les facéties de la Nature, mais quand le niveau de la Touques monte vraiment, on y pense, car ma zone est inondable par crue

Les "non humains" qui habitent en face, sont évidemment invités à la sauterie, plus il y aura de témoins, mieux cela vaut.

Rappel : rendez-vous à l'entrée du cimetière, à moins je sois bloqué dans la propriété par les poulaga de mon grand copain spécialiste du ravalement, puisque "c'est lui la DCRI".

 

 

2ième épisode

 

MAJ 04.02 :  Le meilleur journaliste de Lisieux est donc allé sur place dimanche pour immortaliser les lieux et a rencontré un des plus plus proches voisins qui a reçu aussi la visite façon faux cul de première au courant de rien de Paul Mercier des Rochettes, premier spadassin de Nanard dans les marigots immobiliers.

Le Tribunal Administratif de Caen a reçu une petite visite, le Sous-Préfet de Lisieux ne perdant rien pour attendre.

Il est fort possible que cette histoire intéresse le Grand Frère de l'Echo Joli, le Canard Enchaîné. Il faut dire que cette histoire graveleuse peut faire ses choux gras, on imagine d'ici un titre du style "AUX URNES FUNERAIRES CITOYENS" ou "EMOI DES RELIQUES DE SAINTE THÉRÈSE", etc...

Le rapport du cabinet MERLIN ayant atterrit miraculeusement entre les mains d'une petite souris, on apprend que le terrain des consorts TRICHET est le plus petit des trois pressentis. Les deux autres sont en fond de vallée, déjà que la SARIA nous gratifie par temps calme d'odeurs d'équarrissage à faire dégobiller un ouvrier de Lubrizol, autant s'abstenir. On se souvient que la ville a été arrosée aux dioxines et furanes de l'incinérateur de la ZI de la Vallée, jusqu'au moment où la contamination est devenue telle qu'il a fallu arrêter les frais. Ce qui n'a pas empêché un socialo de l'époque qui se prenait pour un écolo d'attribuer des terrains à une assoc de maraîchage bio. Depuis, ça a du se diluer mais quand même.

 

 

Mine de rien, tout HOTVIL est concerné (8000 personnes), y compris la bicoque à Firmin située à 200m, mais à 12000€ par mois, il a les moyens de déménager quand on l'aura viré de la mairie.

Ce sont les pauvres, difficiles à mobiliser, va demander à quelqu'un dans la mouise de se battre, mais aussi les électeurs de Clotilde VALTER qui vont trinquer.

Pour B. AUBRIL et P. MERCIER, ce ne sont pas des êtres humains ?

 

A gauche la maison de Mme TRICHET à droite la haie actuelle du cimetière.

 

 

 1er épisode

 

Document paru dans OUEST FRANCE, origine du service de com de la mairie ?

 

Le terrain n'est même pas acheté que les marchés sont lancés;

Cliquer sur les miniatures

 

http://www.klekoon.com/JOCE/joue-appel-offre-concession-travaux-publics-conception-construction-financement-exploitation-crematorium-2902169.htm 

Incroyable, ces .... ont rendez-vous le 7 février "sur place". Marché public annoncé... aujourd'hui !

Comme le risque est grand que ces ..... effacent dans la foulée les traces de leur forfait, il valait mieux prendre une copie d'écran, au cas où cela se terminerait cour Matignon.

 

http://www.ouestmarches.com/les-marches-publics-et-prives/detail/-ville-de-Lisieux-Lisieux-14100-realisation-d-une-etude-d-impact-en-vue-l-acquisition-de-la-parcelle-en-procedure-de-DUP-et-de-la-faisabilite-de-l-implantation-d-un-crematorium/472232 

 

MAJ 01.02 :  L'ECHO JOLI a déjà évoqué le dossier de l'incinérateur, en nouvelle brèves (rappelé en fin d'article). Cette histoire prend une nouvelle dimension, vu les informations fournies par un des six enfants de Mme TRICHET, 80 balais aux prunes, frêle, mais bon pied bon oeil.

Une petite recherche menée sur internet par votre journaliste d'investigation préféré est stupéfiante. Ils foutent quoi les pros de la rédaction unique ?

L'histoire commence pour la famille TRICHET il y a un an, mais en matière immobilière les coups tordus, comme je l'ai déjà dit, peuvent partir de très loin.

Aubril et Mercier des Rochettes ont donc écrit à Mme TRICHET il y a un an pour prendre rendez-vous.

Ils se sont pointés bras dessus bras dessous (les enfants n'étaient pas au courant à ce moment), enjôleurs à souhait, vous connaissez Aubril, les bises aux petites vieilles c'est son truc. Dans l'espoir de truander celle qui est en train de devenir victime d'une conspiration voire d'une forfaiture qui pourrait emmener ses auteurs au pénal, ils lui ont servi une version mensongère à savoir acheter son terrain qui jouxte le cimetière pour y faire un "lieu de recueillement" avec un "mur du souvenir" et qu'ils n'auraient besoin que de "quelques mètres", alors qu'ils savaient très bien que la manoeuvre (magouille ?) consistait à faire avaler des couleuvres à "cette brave dame", et que l'objectif était de livrer un terrain à pas cher à une société privée pour y construire un incinérateur. Les QATARIS sont paraît-il très présents dans ce secteur lucratif.

Au départ le prix était de 0.50€ le m2, est passé à 0.70€, puis à 5€.

Les deux compères (complices ?) sont revenus plusieurs fois à la charge, mais ont bien pris la précaution de ne laisser aucun document ni aucune trace derrière eux. En cas où un procureur un peu curieux s'intéresserait à cette histoire nauséabonde, c'est parole contre parole.

Un beau jour, une des filles, présente par hasard, constate que quatre personnes grenouillaient sur le terrain, dont du personnel de la Ste MERLIN de Rouen, sans avoir prévenu qui que ce soit, pour "une étude de faisabilité". Une manière comme une autre d'intimider, de faire pression sur une personne âgée (abus de faiblesse ?), bref, ils étaient déjà chez eux, la "vieille" n'allait pas résister bien longtemps.

Il y a violation de propriété.

La dite étude de faisabilité aurait été facturée 60000€ à la mairie. Jean Paul Soulbieu est prié d'envoyer une copie de la facture à l'Echo Joli histoire de rigoler et de voir quelle était la nature de la prestation, la date de commande, etc...

A suivre, car les événements s'accélèrent, avec la publication sur internet des appels d'offre de marchés publics.

Mme TRICHET va être ravie de savoir que la bande d'énergumènes un peu spoliateurs sur les bords a rendez-vous le 7 février à 14h sur place.

L'ECHO JOLI y sera évidemment, avec la famille. La REDACTION UNIQUE sera-telle présente pour faire son métier d'information ?

Et l'opposition de gôôôche, la Clotilde, Serge Loiseau et surtout les Verts, seraient ils eux aussi corrompus par Aubril au point de laisser s'installer un crematorium classé SEVESO 1 à 50/60m des immeubles des gueux qui ont voté socialo, mais "qui déménagent souvent", sont "oisifs" et au chômdu ?

Et le Préfet, nommé par la gôôôche, va-t'il participer à la curée en signant la DUP ?

Incroyable cette histoire...

A suivre.

 

TOUT FEU TOUT FLAMME

 

MAJ 31.01 : Le Canard enchaîné du 30 janvier évoque à nouveau notre bonne « ville à vivre ». Il a en effet relevé ce titre dans le Pays d’Auge du 18 janvier : « Crématorium de Lisieux : les négociations au point mort ».

Et le journal satirique commente ainsi : « les négociateurs auraient-ils perdu la flamme ? »

Il ignore probablement que les principaux édiles de la ville ne sont pas de fortiches diplomates et règlent la plupart des conflits au tribunal.

D’autre part, ont-ils parfois brillé de mille feux ?

Le tout feu tout flamme, on verra ça avec la nouvelle équipe municipale, l’année prochaine.

 

ROM

(N.D.L.R : ce n'est pas l'Echo Joli qui a cafté).

 

 

 

CREMATORIUM SUITE

 

MAJ 17.01 : On au saura plus dans quelques jours après l'interview de la famille Trichet, propriétaire du terrain que la ville voulait acquérir pour y construire en lousdé un crématorium pour la plus grande joie d'un investisseur privé.

On est dans le même registre que le mouroir Alzheimer place Bérat, planté comme une m... (même pas refait les trottoirs). Avec la mise en service du nouvel ALDI, c'est le foutoir complet côté stationnement autour de cet équipement.

Merci la bande, dont celle de cons à lui tout seul.

Il semble bien que la bande des cinq ait combiné un coup tordu pour embobiner Mme Trichet mère, et lui acheter son terrain en lui faisant croire qu'il s'agissait d'une simple extension du carré du souvenir.

C'est toujours comme ça avec les coups tordus immobiliers, ça part souvent de très loin (ici 3 à 4 ans) et celui qui se fait entuber découvre mais un peu tard qu'il est cocu.

Les enfants ont vu le coup venir et ça coince a tel point que la vipère à chignon a sorti en conseil que la plaisanterie allait durer un moment.

Je ne suis pas plus royaliste que le Procureur de la République, mais s'il mettait  son nez dans cette sourde histoire, cela pourrait donner lieu à quelques surprises.

Un petit abus de faiblesse comme avec Mamie Zinzin et Sarko ?

Comme d'hab, Firmin cherche à passer en force en demandant au préfet une DUP pour s'asseoir sur le PLU et empapahouter la famille, mais aussi les riverains. Mais un préfet prévenu en vaut deux.

Je ne suis pas un spécialiste des crématorium (le plus tard possible), mais ce serait bien de l'installation classée, avec des distances à respecter.

A chaque fois qu'il y a un mic-mac immobilier, on croise le chemin de Paul Mercier, dit la brosse.

Complètement crématorium ?

A suivre....

 

COMPLÈTEMENT CRAMÉ

MAJ 05.10 : La municipalité de Lisieux pense à un crématorium à côté du cimetière. Voilà une excellente idée à creuser pour la première adjointe qui avait dit que l’activité des pompes funèbres était une belle vitrine pour la ville.

Et c’est tout à fait logique que la « ville à vivre » adapte le cimetière aux modes de vie actuels.

ROM 

NDLR : il y a une embrouille dans cette histoire. D'abord le crématorium sera situé à côté du cimetière actuel, les fumées iront donc directos dans les HLM de HOTVIL en face, vu les vents dominants.

En plus, ils semblent avoir tenté de rouler la propriétaire du terrain (voisine directe) pour une "extension du carré du souvenir", donc en terrain agricole ou quelque chose dans ce goût là, au lieu de terrain à bâtir. C'est pas le même prix.

Vous avez dit comment ?