Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps

 

        

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LA TOUR INFERNALE IV

 

 

MAJ 03.07.2023

 

 

 TENTATIVES D'HOMICIDE SUR

 

LE VIGILE DE LA SAGIM !

 

 

MAJ 27.08 : Le texte ci-dessous était une nouvelle fois prémonitoire, pas besoin d'Eric Fearson (voir l'Eveil) et ses jeux de tarots divinatoires à la rédaction de l'Echo Joli.

Nestor Burna est donc une nouvelle fois tombé au bon moment au bon endroit, sur le vigile embauché par la SAGIM pour pacifier les nuits dans les trois tours infernales. J'ai trouvé un peu bizarre en l'apercevant que manifestement il regardait en l'air, façon légionnaires Romains à l'appel pour aller attaquer le village des irréductibles Gaulois.

Interwievé, ce jeune homme m'a indiqué qu'il avait déjà essuyé quatre tirs de bouteilles pleines (en verre ?) balancées depuis les tours.

En tous cas, le toutou du monsieur est plutôt nerveux, pas très aimable avec les journalistes, bien que maîtrisé. Que va faire cette aimable bête si son maître est un peu assommé par une Kro perdue ?

Lancé du 14ième, recevoir un tel projectile, c'est la mort assurée. J'emploie donc le terme "tir" à dessein.

Envoyer volontairement une bouteille pleine en direction d'un vigile est à mon sens une tentative d'homicide, au sens du code pénal aussi.

Reste à savoir quel est le sens donné à cette action par le Proc. Notre professionnel du ravalement est-il au courant ?

Va-t-il risquer ses troupes de choc qui paradent dans les couloirs de son échope en gilet pare-balle ?

En tous les cas, une autre conversation avec une personne très proche du dossier tend à indiquer que la mairie est au courant, et a pris ses précautions, mais "ne peut pas faire grand chose, car c'est la responsabilité de la SAGIM". Qui avait cru bon de supprimer le gardien lorsqu'elle a racheté ces immeubles.

Qu'en dit toutefois notre tous frais émoulu sous-préfet, un peu concerné par l'ordre public ?

Va-t'il lever les bras aux ciel et grommelant comme Nanard "c'est pas moi c'est les autres" ?

La responsabilité pénale de la société de gardiennage est également engagée, car envoyer un de ses employés au casse pipe de cette manière est un peu border limite côté droit du travail.

A suivre...

 

 

TOURS INFERNALES Xième SUITE

 

MAJ 20.08 : La mise à feu des tours étant devenue régulière, la SAGIM a fini par embaucher, mais c'est elle qui le dit, un vigile avec un toutou pour pacifier les nuits agitées des naufragés de la politique sécuritaire de l'équipe municipale.

L'échec de l'adjoint à la sécurité  et de son boss Firmin est total, l'arrêté municipal anti-jeunes ne sert manifestement à rien.

On en est pas encore au stade Amiens, belle baffe prise en pleine tronche par des socialistes dont on se demande toujours s'ils sont naïfs ou s'ils sont des autruches.

Les articles saignants parus sur Risposte Laïque, en particulier au sujet du comportement de la ministre de la justice, sont là pour rappeler les humanistes larmoyants à la réalité des conflits "communautaristes" et de l'économie parallèle, dont les "gaulois" sont les boucs émissaires.

Bonne bourre au vigile, qui si ça se trouve est déjà passé par la case hôpital comme le pompier de base qui se fait caillasser du 14ième.

 

 

 

MAJ 25.05 : La réunion qui a eu lieu jeudi 24 était pour causer dans le vide en général, et pas de la TOUR INFERNALE en particulier.

Une réunion d'exorcisme est prévue avec les naufragés, avec les mêmes que la première fois,

Rassurez-vous, il ne va rien se passer, le but est de calmer et d'endormir les locataires. Notre cher Firmin est mort de trouille et son copain de ravalement pas vraiment passionné par la bataille sourde et pénible contre les "incivilités", vu que le circuit garde à vue et sortie en rigolant est très court. Mijoter 24h dans l'arrière cul de basse fosse des cellules de dégrisement, que même Chirac devrait se pincer le nez vu l'odeur, ça devrait faire réfléchir un peu. Mais bon.

A cette occasion, j'ai une anecdote savoureuse au sujet d'un certain Cricri*** et d'un certain Gaga***. On en est à cinq mois depuis les faits.

Les photos de Nestor Burma sont toujours dans son appareil et les reliefs des agapes à l'entresol avec empreintes et ADN des convives sont bien au chaud dans une boîte, un peu moisis quand même depuis le temps.

Alors évidemment, comme rien ne se passe, comme les délinquants sont des petites têtes, ils s'enhardissent, et montrent un mauvais exemple contagieux, ce qui fait dire au représentant de la CNL qu'il y a le "sentiment d'impunité totale". T'as tout compris mon pote.

***Surnoms d'emprunt.

 

 

MAJ 24.05 : En effet, on en est au quatrième incident grave depuis la fameuse nuit de la Saint Sylvestre 2009.

En excellent article est paru aujourd'hui dans OUEST FRANCE, où tout est exact, et vient corroborer les propos de l'Echo Joli.

Gloire à toi Echo Joli, le sobriquet TOUR INFERNALE a été repris par le grand quotidien régional !

Le voici (cliquer sur la miniature) :

 

Tour21.jpg (266657 octets)

 

On notera que rien n'avait à ma connaissance filtré dans la rubrique chiens brûlés des collègues papier, ce qui a fini par agacer un courageux témoin qui s'exprime. D'autant plus crédible qu'il vient d'ailleurs, où ce n'est pas l'anarchie comme à Lisieux, où c'est le naze broque qui fait la loi.

C'est donc au bout de cinq jours que les populations laborieuses découvrent la réalité.

Car évidemment en face, la SAGIM, le Maire, qui a la responsabilité de la sécurité, son adjoint à la sécurité, son adjoint au logement, la Préfecture, le Commissaire et le Parquet ne doivent pas vraiment être à leur aise face à la grogne de la population.

Ca commence à faire beaucoup, les pompiers savent bien qu'un jour cela va mal se terminer.

Quelques mises en examen peut-être ? Le code pénal est plein de ressources en la matière.

Evidemment si on encombre les juges avec des citations directes.

Avec les mêmes, dont le staff de la maison poulaga, avec sa patrouille (qui rime avec trouille) qui met "un certain temps" à intervenir, voire pas du tout ?

Notons pour être précis, qu'à chaque fois que j'ai appelé personnellement la police, cela s'est passé correctement dans la mesure où l'unique patrouille est souvent occupée. 

 

MAJ 22.05 : Pour une fois, ils se sont remué les fesses, les fluides ont été rétablis lundi soir. Reste le téléphon qui son plus. Mais là il faut remuer le popotin du sous-traitant du sous-traitant du sous-traitant Moldave de France Télécom.

 

MAJ 20.05 : Un nouvel incendie a eu lieu dans la Tour Infernale dans la nuit de vendredi à samedi.

Même hausse, même éléments, impossible d'évacuer, tout le monde consigné à domicile et prié de sortir les serpillières pour colmater les portes et éviter l'intoxication par les fumées.

Des câbles ont cramé, plus d'eau, plus d'ascenseur, plus de téléphone, plus de net, même plus d'éclairage de secours dans les escaliers, retour à l'âge des cavernes.

C'est le WE, les branlotins de la SAGIM sont en congés, les naufragés attendront bien lundi avec leurs WC bien remplis, et les odeurs de dessous de bras vu qu'on peut plus se laver. Pour la vaisselle et la lessive, une navette vers la Touques peut-être ?

Précision : la SAGIM a bien fait installer une porte sécurisée, mais ces bons à rien on choisi un modèle fragile, le système électronique étant logé derrière une trappe facile à démonter par le pas fini de base.

La porte une fois sabotée, pas de réparation, ils ont fini par la laisser ouverte.

De toutes façons une vitre est cassée et pas remplacée.

L'immeuble est donc accessible aux vandales et desperados, les mêmes que les cambrioleurs impunis du Shopi ?

A quand le prochain suicide à la SAGIM où les "responsables" sont des fragiles du ciboulot ou des fainéants de première.

B..., encore un procès en perspective.

Y foutent quoi au juste De la Crouée et Mercier des Rochettes etc... ?

 

 

 

 

FIRMIN A LE FEU A LA SELLE

 

 

 

A droite, le combustible pour l'incendie suivant est déjà arrivé.

 

 

MAJ 27.10.2011 : Un pétition a circulé dans l'immeuble, qui est atterrie sur le bureau des "responsables" et un peu coupables pour certains.

Notons qu'à priori les pompiers n'étaient pas à la réunion.

En tous cas, comme par miracle, un des ascenseurs en panne depuis des lustres remarche. Comme quoi.

Bref ça balise, en attendant les convocations cour Matignon.

A suivre.

 

MAJ 21.10.2011 : Un nouvel incendie criminel a eu lieu dans deux des tours infernales de HOTVIL. Pour la troisième tour, les incendiaires se sont contentés de mettre le feu à une automobile. Plus d'ascenseur, plus d'eau, plus de téléphone (les gaines passent par les cages d'ascenseurs). A peine relaté dans la presse, la routine en quelque sorte.

On ne sait pas très bien si la colonne (pas aux normes ?) destinée à évacuer la fumée est opérationnelle, en tous cas, c'était impossible de sortir des appartements selon un témoin.

Re-belote, consignation à domicile, fumée partout, impossible de descendre. Rappel : la grande échelle n'arrive qu'au 9ième étage, il y en a 14. En pleine nuit, une évacuation par cette voie aérienne, si l'incendie se répand aux étages inférieurs, de gosses, d'impotents, d'alcooliques imbibés (homme et femmes), de sujets au vertige, de zombies en plein délire de surdosage, risquerait d'être assez space, et surtout de prendre un temps fou. En plus, pas possible de faire monter un flic, encore faut-il qu'il y en ait un qui ait les couilles, pour matraquer les chtarbés à l'entrée de la nacelle, pour que les femmes et les enfants passent d'abord.

Responsables : les fainéants et asociaux qui déposent des déchets partout en sous-sol, mais surtout la SAGIM, ses encostardés surpayés qui se glandent sauf le jour de la paye et les deux fumistes sensés gérer les immeubles (refourgués à la SAGIM par la ville rappelons le).

Pour le fun, rappel d'un courrier adressé le 04.01.2010 à la SAGIM :

 

Messieurs,

Depuis la reprise de la gestion des trois tours de Hauteville par vos soins, la situation n'a fait que se dégrader. J'en ai parlé à plusieurs reprises à l'adjoint au logement et sur mon site internet, prémonitoire.

En laissant s'installer des marginaux, zombies, drogués, traînards, zonards, sans réagir, et sans expulser les fauteurs de troubles, vous vous retrouvez avec un immeuble détruit, hors sécurité, qui est devenu une poubelle et une zone de non droit.

Votre régisseur ne fait jamais de ronde, ni la police qui se terre dans ses véhicules.

Les locataires qui ne demandent qu'à vaquer à leurs occupations paisiblement sont donc mis en coupe réglée et sont en danger.

Votre régisseur est un irresponsable, il aurait dû cette nuit du réveillon qui a été annoncée comme chaude par la ministre de l'intérieur elle même, visiter les caves pour débarrasser les déchets et en particulier le réfrigérateur qui a été incendié volontairement. C'est une faute professionnelle grave.

La femme de ménage, dont le courage est à saluer, était en vacances, et n'a pas été remplacé pour ses congés. C'est là aussi une faute grave, car le fait que des inscriptions faites deux/trois jours avant n'ont pas été effacées, a été interprété par les "nasebroques" comme un signe d'abandon. Cela a sans doute incité au passage à l'acte.

J'estime que vous êtes des incapables, et qu'il convient de faire en sorte que la gestion de ces immeubles vous soit retirée.

C'est le sens d'un courrier que j'ai adressé au Sous-Préfet.

Je souhaite vivement que vous soyez mis en examen et renvoyé devant les tribunaux pour y être sanctionnés.

Compte tenu du traumatisme et de l'angoisse (surtout pour les enfants) qu'ont subit les locataires pris au piège dans ce navire fantôme envahi par des fumées toxiques, je ne vous salue pas.

 

Certes, il est très difficile d'attraper des incendiaires, mobiles et imprévisibles. Il n'y a qu'une seule solution, une caméra, mais mobile, une caméra fixe une fois repérée, n'a plus d'efficacité. Il faut essayer c'est tout (en restant dans le cadre légal de la protection de la vie privée). De toutes façons un flic de terrain un peu malin va sentir les coups venir.

Evidemment, c'est la politique débile de l'adjoint au logement qui est encore une fois en cause.

Cela fait deux ans que l'immeuble est en travaux, que cela n'avance pas, on bricole, résultat ce qui est enfin fait est détruit avant les travaux suivants.

L'entrée avec les deux ascenseurs est typique : le plafond est défoncé depuis deux ans.

Les photos du corbeau de l'Echo Joli sont accablantes, prises hier vers 12h, 20.10.

Tout est grand ouvert, les locaux techniques sont accessibles à des saboteurs et vandales, le combustible de l'incendie suivant est déjà arrivé !!!!

Une réunion eu lieu aujourd'hui. Ils sont comme ça les irresponsables et les incapables, ils s'assemblent pour donner l'impression d'agir et diluer leurs responsabilité et apaiser leur conscience. On dirait Sarkozy et Merkel en train d'essayer de sauver la tronche à l'Euro.

Autour de la table, en présence de locataires, les fumistes : Aubril, Mercier, d'autres zélus, le trouillomètre à zéro, les guignols de la SAGIM. Les pompiers et les policiers, qui, pour en avoir discuté avec eux, savaient très bien que cela allait recommencer. En professionnels, ils sont prêts au pire, à savoir l'extension du sinistre aux appartements de rez de chaussée, après c'est feu d'artifice et la une nationale. Le sous-préfet, qui a déjà la lourde charge de faire réintégrer le vrai directeur de l'Ecole de Musique, va-t-il enfin intervenir et mettre sous sa tutelle d'airain la SAGIM ? C'est évidemment plus facile d'organiser des embuscades pour piéger le paisible automobiliste qui roule un peu vite.

Firmin va en profiter pour ressortir des limbes sa police municipale morte née.

C'est pas la solution, ces petites bêtes là, ça rentre chez maman à 18h, la nuit, c'est les cow-boys du commandant Garcia, avec "une seule patrouille", qui se prennent des gnons de délinquants de plus en plus violents.

Il n'y a pas trente six solutions : licencier pour faute grave le personnel SAGIM de Lisieux, faire un nettoyage systématique, finir les travaux d'urgence, assurer la fermeture des portes, virer les fauteurs de trouble. Bref pacifier.

Cher monsieur le procureur, une petite mise en examen peut-être pour mise en danger d'autrui ?

Les épisodes précédents, c'est par ici.

 

 

Le plafond de l'entré est défoncé depuis deux ans, les murs en plâtre, jamais peints ni protégés sont dégradés

Les locaux techniques sont ouverts accessibles au reporter de l'Echo Joli et aux vandales.

 

 

 

MAJ 23.05.2011  : Après avoir mis 15 jours à retirer des déchets qui ne demandaient qu'à être incendiés, à peine nettoyé, rebelote, des vieux meubles sont arrivés.

Les bonnes habitudes continuent.

 

 

 

MAJ 17.05.2011 : Malgré les appels désespérés à la SAGIM d'habitants de la tour, les déchets ci-dessous sont toujours dans le sous-sol de l'ascenseur, certes en panne depuis une petite quinzaine.

 

MAJ 12.05.2011 : Comme les déchets photographiés la semaine dernière ont cramé dans la tour "CAF" samedi dernier, à quelle tour le tour ! ?

La tour "POSTE" (1 rue Pierre Corneille) est une excellente candidate. En effet les déchets immortalisés il y a quinze jours maintenant y sont toujours, dans le sous sol face aux deux cages d'ascenseurs qui vont être en direct live pour les fumées toxiques. Les gens qui vont être piégés dedans quand les détecteurs de fumée vont se déclencher (s'ils fonctionnent) sont bons pour la mort atroce par asphyxie puisque les appareils ont toutes les chances de s'arrêter n'importe où, portes bloquées.

Enfin un seul, car l'autre est HS depuis 10 jours, une bagarre entre gentils voisins à coups de cutters sans doute.

Moi, je serais patron des pompiers, je mettrais un fourgon en pré-positionnement dans un endroit tranquille, pour éviter d'être attaqué par les nazebroques à coup de pierres, en attendant l'arrivée des Kalachs, et arriver plus vite sur place. En plus demain c'est vendredi 13, un jour où la Loi de Murphy donne toute sa mesure.

En attendant, ça commence à "psychoter" dans ces immeubles, la perspective d'une nuit bleue entraîne des troubles du sommeil ou des crises de nerfs. Comme quoi il n'y a pas que les femmes de la famille du maire qui pleurent toutes les larmes de leur corps dans cette ville maudite. On peut même pas prendre d'Euphorisan 250 avant son retrait du marché comme le Médiator, car il faudra être réveillé au moment de l'évacuation.

 

 

 

LE DÉSASTRE CITOYEN

 

MAJ 11.05.2011 : L'augmentation soudaine, mais logique, du nombre de morts sur les routes, les incendies criminels provocateurs autour de la caserne des pompiers, l'incendie criminel d'encombrants dans une des TOURS INFERNALES à Hauteville baptisé par les faux culs du Pays d'Auge de "feu de poubelle dans un sous sol d'un immeuble de 14 étages", euphémisme déontologique, le saccage systématique du jardin public, les "gentils" gogols du lycée Cornu étalés comme des veaux à picoler et fumer sur le terrain synthétique du stade, les feux de poubelles, les voisins bientôt en fête qui s'étripent à coups de cutter, ne sont que les symptômes émergés d'un désastre éducatif et citoyen, qui arrange le petit manipulateur de l'Elysée. La liste est longue.

J'ai encore une fois été prédictif : le combustible du "feu d'encombrant" dans les tours infernales a été immortalisé sur ce site la semaine d'avant !

Depuis, les "branleurs" de la SAGIM ont laissé les déchets dans les caves.

Dégât collatéral, les 200000 auditeurs de COCKTAIL FM dont les émetteurs sont installés dans la tour qui a cramé, ont été privés de radio pendant trois jours.

Les gars, si vous avez cinq minutes, je peux venir à l'antenne décrire la situation réelle. Pas certain que les auditeurs me croient. Tout va bien, je vais bien.

Que font les "autorités judiciaires" ? Elles compatissent en coeur avec les sanglots des pleureuses humanistes du très inefficace CIDFF (sinon ça se saurait), qui vient de se faire sucrer ses subventions par l'Etat. Il y a un moment faut arrêter les meilleures des plaisanteries.

Désolé, mais c'est de la faute des élus et de ceux qui détiennent le pouvoir judiciaire que leur confèrent les citoyens. Nous leur déléguons notre sécurité par PROCURATION (c'est l'origine du mot). Il va falloir un jour que notre Justice comprenne qu'elle doit faire ce que les citoyens lui demandent et non pas penser et fonctionner de manière autonome, et faire tout faire de travers.

J'avais également prévu la récidive dans mon quartier. Banco. Les délinquants asociaux vont bientôt incendier la caserne. T'en fais pas, les trois automobiles brûlées ont été dégagées vite fait, personne n'a rien vu. N'ont vraiment pas honte.

Encore une fois le jardin public va être fermé quinze jours car Godereaux, De la Crouée et le maire sont totalement incapables de sortir le carnet à souche.

Le calcul politique est sordide : alarmisme, larmes de crocodiles, solution : la garde brune (la police municipale) pour caser la famille et les "potes à Nanard".

Ou encore, insécurité = trouille des vieux = vote à l'extrême droite = vote pour Firmin le 2/3 de Pétainiste. Donc, on laisse faire parce que c'est bon politiquement. C'est dégoûtant ? Vous l'avez élu. Sera trop tard pour regretter ton bulletin de vote quand ta bagnole brûlera devant chez toi ou quand ta fille se fera violer. Tu es déjà couillonné par le tracé du TGV, ça va bien.

Après, les comiques de la bande des cinq conspuent leur assureur en conseil municipal. Assureurs qui commencent à en avoir raz la casquette de ce client dangereux. Camarade, si tu es assureur, vire Firmin de ton bureau : il se fout de ta tronche.

 

 

LES TOURS INFERNALES II

 

ou voyage au coeur des porcheries de la SAGIM

 

MAJ 02.05.2011 : Votre moyen reporter préféré n'a pas besoin d'aller aux antipodes pour tomber sur des spectacles édifiants, la lie de l'humanité est "proche de nous". Il était donc intéressant de retourner sur les lieux du feu de poubelle pour faire un peu d'investigation.

Pas déçu du reportage sur le vif. Précisons que lors de l'intervention des pompiers samedi soir, une équipe a fait le tour des caves pour voir s'il n'y avait pas d'autre feu. Il n'ont pas manqué de constater que celles-ci étaient encombrés de beaucoup de déchets, suffisamment pour mettre le feu pour de bon à la tour.

Vous croyez que la SAGIM serait venu débarrasser sa merde pour éviter qu'un autre nazebroque ne mette le feu ?

Pensez dont, ils s'en foutent, et puis on ne va tout de même pas déranger des fainéants et des irresponsables un premier mai.

Les pompiers avaient ouvert la trappe de désenfumage, qui n'a pas été refermée, et l'eau coulait dans les escaliers.

Pendant que j'y étais, je suis allé dans la tour voisine. Même spectacle. Un détail : de l'eau coulait partout dans le sous sol et dans les cages d'ascenseur, après ils s'étonnent des pannes. Ils s'en foutent, c'est le locataire qui paye.

Allô, la préfecture. Ah bon, vous aussi vous n'avez pas le temps parce que vous phosphorez sur une opération transparence ?

Allô, la mairie ? Vous vous en foutez ? Ca au moins, c'est clair.

 

 

 

 

L'entrée de la porcherie. Il traîne du papier à brûler sur les boîtes.

 

Plafond défoncé, crachats sur les boutons, barre d'appui démontée, l'indicateur d'étage est explosé.

 

Fumer dans un lieu public est normalement interdit. Rien qu'avec ces déchets, il y a de quoi faire flamber la tour.

 

L'autre tour. Poubelle pleine, plafond défoncé, tout est crade et bouzillé.

 

 

Ascenseur tout neuf. Certains ont pris l'habitude d'en faire une pissotière. Autant de déchets, de l'eau partout, les ascenseur baignent.

 

La fameuse porte de sécurité, qui ne ferme plus.

 

 

 

 

LES TOURS INFERNALES II

 

 

MAJ 01.05.2011 : 23h30, rue Roger Aini. Je croise la grande échelle, demi-tour, ça sent le scoop. Bingo. Un feu de corbeille à papier dans le hall d'une tour "dont la porte est toujours ouverte", selon un habitant qui ne pouvait pas rentrer chez lui. Apparemment le système d'alarme s'est déclenché, c'est déjà ça. Ascenseurs bloqués. Intervention très pro des pompiers, avec évidemment beaucoup de monde, car dans une tour de quatorze étages, ça peut rapidement tourner au vinaigre, voir LA TOUR INFERNALE I. A l'heure où sont rédigées ces lignes, votre gribouilleux ne sait pas encore si ce feu était une diversion d'incendiaires en série pour pouvoir mettre le feu ailleurs tranquillement (comme dans le quartier de la caserne des pompiers récemment).

Que ce soit un incendie volontaire ou une négligence, un mégot jeté dans la poubelle, le résultat est le même.

Et met en lumière la lourde responsabilité de la SAGIM, le propriétaire des trois tours, et de notre trouillhumaniste d'adjoint à la sécurité, De La Crouée, celui qui pense qu'on peut faire de la police avec un goupillon. Pourtant le maire de Lisieux "prend toutes voix" à tel point d'être élu avec celles du FN, qui sur ce coup va encore augmenter son score dans le quartier populaire de Hotvil. Il n'y a pas que les riches barricadés derrière leur thuyas et leurs caméras (très nombreuses) à la campagne qui en ont raz le bol des élus eunuques et des procs transparents, vu les réflexions proférées par les habitants bloqués chez eux depuis leur balcon, la gangrène brune gagne du terrain.

Malgré le premier avertissement sévère d'une nuit de St Sylvestre mémorable, TOUS les acteurs responsables juridiquement ont continué comme si de rien était : réunions de quartier bidon pour la mairie et anarchie et paresse totale à la SAGIM.

Déjà mettre une poubelle dans un hall d'immeuble, il faut être complètement innocent border limite taré.

Evidemment pas vidée tous les soirs comme cela devrait être la règle dans un immeuble qui je le rappelle fait quatorze étages alors que la grande échelle va jusqu'au neuvième. Trop fatiguant pour le régisseur sans doute. Toujours pas de gardien sur place, ça va de soi.

Des portes sécurisées ont été mises en place alors que les travaux n'étaient pas terminés (et ne le sont toujours pas), et sans que le nettoyage par le vide des fêlés qui n'ont rien à faire dans ces immeubles dangereux aient été expulsés (ça vient seulement de commencer).

C'est une erreur psychologique grave. Dans la tour de la Rue Pierre Corneille, les travaux s'éternisent depuis un an et demi, des gravats ont traîné dans un hall au plafond défoncé pendant trois mois, il faut certes se baisser. La porte d'entrée a été explosée, pas réparée, puis un jour, le branleur de régisseur s'est décidé à faire retirer le carreau après qu'il eût été couvert du sang d'un enfant qui s'est blessé. Evidemment pas remplacée, ce qui fait que tout le monde a accès au bouton d'ouverture interne en passant la main.

Comme celle de l'immeuble objet de l'incendie, elle ne se ferme plus faute d'entretien.

Je n'ai pas pu rentrer dans l'immeuble à cause de la fumée, mais si c'est comme l'autre, les portes de sécurité des escaliers sont bloquées ouvertes, soit parce qu'elles sont par terre (c'est plus pratique pour déménager), soit calées, souvent avec des détritus (canettes). Résultat : la colonne de désenfumage ne sert à rien et il y a de la fumée partout dans les escaliers, pas moyen d'évacuer.

Il va de soi que les caves sont pleines de détritus et d'encombrants. Ces crétins n'ont pas encore compris qu'ils avaient affaire a des fainéants irresponsables qui jettent leur merde partout, mais aussi à des pauvres non motorisés qui ne peuvent pas aller mettre leurs déchets à la déchetterie. Il y en a même qui jettent leurs poubelles par la fenêtre, il faut dire qu'un abruti avait mis une benne au pied d'une tour. Et hop !

Seul moyen de venir à bout de cette chienlit :

-- Virer De La Crouée, c'est un nul, et pas de police municipale, le soir les petits gardes bruns d'Aubril seront dans leurs couettes.

-- Mettre en examen le PCA de la SAGIM, es-qualité, pour mise en danger d'autrui.

Allô, la cour Matignon ? Pas le temps ? Comment ça vous préparez la prochaine opération transparence ?

 

 

BRÈVES DE COMPTOIR

SUR CE SUJET

 

Pour les brèves de la semaine, c'est par ici

 

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Pour les vieilles brèves, c'est par ici

 

TOUR INFERNALE, SUITE

 

MAJ 15.03.2011 : La TOUR INFERNALE a été mise à sac la semaine dernière, par deux cinglés, un habite 14ième l'autre au 2ième. Un carnage, du sang partout, un ascenseur bouzillé, des habitants terrorisés. Cet immeuble est une véritable porcherie, livré à quelques fous furieux qui y ont été logés par Paul Mercier lui même.

En pleine campagne électorale, son cas va encore s'aggraver !

Ascenseurs neufs puants, sales et dégradés, gravats dans l'entrée depuis trois mois, plafonds arrachés, à un moment les portes de sécurité étaient calées car il n'y a pas de lumière dans l'escalier (ni normale, ni de secours), porte d'entrée non réparée, pendant trois mois la vitre du bas était cassée, puis retirée le jour où un enfant s'est blessé et l'a couverte de sang, certains se pavanent encore avec des molosses qui nécessitent un permis, etc...

Les cow-boys du commandant Garcia se sont déplacés deux fois en pleine nuit, rien à dire.

Le régisseur, sur le compte duquel je n'ai pas changé d'avis, se terre dans son bureau, ne dépose pas plainte.

C'est pour quand la mise en examen du PdG de la SAGIM ?

Allô, y-t-il un procureur dans l'avion ?

 

 

LA TOUR INFERNALE

 

MAJ 21.01.2011 : La mise en place d'une porte sécurisée a calmé un temps les esprits. Le cracheur de l'ascenseur impair n'a toujours pas été pincé et viré, donc il continue. C'est agréable.

Comme le régisseur a laissé traîné des parpaing d'un chantier qui s'éternise au pied de la porte, un nazebroque s'en est servi pour l'exploser.

C'est reparti pour un tour, la SAGIM, que nous avons tous cautionné pour le montant de ses travaux n'a toujours rien compris et est toujours aussi nulle.

Suite au prochain acte de vandalisme.

 

 

 

 

MAJ 08.11 : Il pleut dans l'ascenseur tout neuf, c'est tout de même incroyable. Aux dernières nouvelles, il a été bloqué volontairement hier soir, les pompiers seraient venus.

Le bureau de la SAGIM de Lisieux a réceptionné les bouteilles comportant les empreintes des protagonistes de bacchanales orgiaques au 14°. Il paraît que le gérant de la SAGIM a demandé "ce qu'il devait en faire". Tu le portes au commissariat, avec mes compliments au commandant Garcia. Ca occupera les minettes de la police scientifique.

Les crachats, c'est pareil, ça se prélève.

Les HAM sont emmerdés : il va falloir expulser en plein hiver. Pour cela, il faut un jugement, et donc une instruction.

 

 

MAJ 16.09 : L'entreprise EVAIN est venue poser une porte... en tôle, avec des raccords en contreplaqué qui vont être brûlés. La porte ne sert à rien, encore notre pognon qui part par la... fenêtre. Les cracheurs continuent d'asperger la porte de l'ascenseur, en plein début de pandémie de grippe Mexicaine, ça fait désordre. Si une de ces tarés attrapent la grippe, tout l'immeuble (200 personnes) va y passer. Mais que font la Sâââgim et la pôôôlice ? 

 

MAJ 10.09 : La porte cassée a été retirée, si maintenant ils font ce qu'on leur dit de faire, tout va pour le mieux.

Suggestion : expédier l'expert Miami du commissariat pour faire un prélèvement de salive sur la porte de l'ascenseur, de préférence à une heure de grande écoute, de telle manière à ce que toutes les concierges le voient. Pas les sirènes quand même. Le téléphone arabe fera le reste. Faire le tour des trois tours. Garder le prélèvement au chaud, on ne sait jamais. Plus de crachats. Elle est pas belle la vie les petits loups ?

 

MAJ 09.09 : J'avais prédit un incident dans la tour n°1, pas de bol, il s'est produit dans la tour face à la CAF, le pompiers sont intervenus le 08.09 vers 19h et l'ascenseur (neuf) était en panne au sous-sol ce jour. Un grand bravo, la boule de cristal de l'Echo Joli a encore frappé.

 

MAJ 07.09 : Vous vous souvenez de la Tour Infernale ?

Et bien, cette bande de comiques ont changé un ascenseur avant d'empêcher les nazebroques d'y pénétrer et de virer les dealers. Résultat, cet ascenseur neuf payé par le contribuable sous forme de subventions ou du 1% logement est déjà bouzillé.

Comme l'argent public coule à flots, on loue des échafaudages la peau du cul alors que personne n'y a travaillé pendant deux mois. Un peu comme le dais du Tribunal.

Malgré l'incendie du 1er janvier, la réunion avec les locataire en présence de la SAGIM, d'Aubril, de De la Crouée, de Mercier, du capitaine Meunier et du brigadier chef Delyot, le souk continue.

Vu l'état de l'entrée et de l'ascenseur, l'immeuble est à nouveau complètement hors sécurité, et un incident du même niveau que le premier est pour bientôt.

J'ai émis des doutes sur le professionnalisme de la  SAGIM en public, je n'ai pas changé d'avis.

Faudra-t-il aller jusqu'à écrire au Préfet, qui risque à nouveau de débarquer pour donner comme la dernière fois une fessée à tout le monde ?

 

 

 

 

Pour mettre le feu rien de tel qu'un court circuit. Rappel, il y a des

incendiaires qui circulent la nuit à HOTVIL

 

 

 

Cela fait trois mois que la porte était HS, elle a finalement été remplacée par une porte en tôle inutile

 

 

 

Le miroir au fond a été cassé trois jours après la mise en srvice,

la barre d'appui (pourtant solide) démolie.

 

 

 

L'affichage a été détruit la semaine dernière

 

 

 

Le bureau de tabac vient d'être cambriolé

 

 

 

 

Cette arcade qui sert de lieu de rassemblement nocturne aux JV n'est toujours pas murée

 

 

 

UNE RÉUNION CONSTRUCTIVE (29.01)

 

La réunion prévue hier soir mercredi s'est déroulée sans trop d'encombres. Bernard Aubril et Paul Mercier sont partis sans s'excuser, sans doute un cocktail. La SAGIM a déplacé un cadre d'Alençon, la police un capitaine, un peu vexé manifestement par le "rêveurs naïfs" (voir la suite).

Bernard a tenté de rallier la salle à son panache (quoique) en citant les propos (un peu durs mais c'était à chaud) tenus sur ce site.

Persiste et signe et en plus tout le monde a trouvé ça normal. Manifestement sur ses gardes, soucieux, agacé et dans ses retranchements, ce n'est pas le Nanard survolant la plèbe que nous avons vu.

Les représentants de la police ont essayé de chipoter en indiquant qu'aucune plainte n'a été déposée depuis plusieurs années. Ca n'a pas marché non plus, un habitant a signalé qu'il y avait eu quatre incendies en quatre ans (dont deux petits l'an dernier), la SAGIM a déposé des plaintes, sur ce site (très lu par tous les mis en cause) ce n'est pas faute de décrire la tension qui montait tout doucement.

La SAGIM, qui roule sur l'or, signala tout de même que le bilan d'exploitation de ces trois tours n'était pas brillant, forcément, en subissant les destructions, dégradations et salissures continuelles (surtout les ascenseurs), ça finit par chiffrer.

J'ai d'ailleurs appris incidemment lundi que le personnel de réparation des ascenseurs demanderait à la police de l'accompagner pour intervenir le soir ou la nuit. Charmant.

Il paraît que le Proc s'intéresse au sujet, et j'ai annoncé qu'un dossier allait être adressé au Parquet. Après, comme j'ai coutume de le dire, je ne peux pas être plus royaliste que le Procureur de la République.

Je considère cette réunion comme positive, reste à savoir s'ils vont avancer : expulser les "aspirateurs"*** dealers et "tapeurs de brin", un peu plus filtrer les nouveaux arrivants (dans la mesure où la loi le permet). Bon si en même temps on pouvait limiter la population canine (surtout les monstres des nasebroques), ce serait mieux. Si de l'ordre est mis, une fois le hall équipé d'une porte à badge, vous allez voir que cette tour retrouvera son lustre d'antan et qu'on va se bousculer pour y habiter.

Parce que pour le moment, y'a pas foule pour y venir, vu le ramdam qu'a provoqué cette histoire.

***Aspirateur : JV (jeune voyou), faisant rentrer ses copains dans son immeuble.

 

 

 

 

 

Le 21.02 : La volée de lettres plus ou moins recommandées et de bois vert lors de la réunion des locataires a eu pour effet un retour au calme, un nettoyage complet de l'immeuble. Comme quoi la fermeté et la terreur ça marche.

D'aucuns, qui se sont sentis un peu visé par leurs voisins au sujet de leur comportement quelque peu débridé, ont choisi le profil bas, et les soirées arrosées le sont en silence. Quelques tentatives des "nasebroques" ont bien eu lieu pour reprendre pied dans l'immeuble, mais en prenant de plus en plus de risque de se faire repérer et voir leur tête mise à prix sur les murs du commissariat.

Un gros règlement de compte aura lieu le 24/03, et les incendiaires de la Saint Sylvestre vont faire connaissance avec le nouveau patron du Tribunal, qui n'est pas un tendre. Tu rentres au Tribunal en rigolant, tu en sors pour monter dans le panier à salade.

N'empêche que des maladresses sont commises.

La camarade journaliste Sylvie Béancourt a interrogé qui elle a pu trouver dans l'immeuble histoire de concurrencer le Pays d'Auge (Eveil du 11.02) et est tombée sur deux alcoolos et deux... dealers fortement présumés. Les normaux, la journée, ils sont au boulot cocotte.

Il y a maintenant trois dealers dans l'immeuble au lieu d'un, un repris de justice pour ce motif ayant fait son apparition.

On se demande des fois s'ils ne le font pas exprès.

 

 

 

INSÉCURITÉ, C'EST REPARTI POUR UNE TOUR (24.01)

 

Courriers adressé aujourd'hui par fax (et à pieds pour les pompiers, peuvent faire chauffer la grande échelle).

Pour les destinataires, c'est la Bérésina, y compris pour la presse aux ordres qui a minimisé.

 

MAIRIE DE LISIEUX

COMMISSARIAT

PREFECTURE

SAGIM

PRESSE LOCALE

POMPIERS

 

Lisieux, le 24.01.2009 (17h30)

 

 

Chers rêveurs naïfs,

 

 

 

Après plusieurs pamphlets donc vous êtes les victimes expiatoires, je ne pensais pas avoir la possibilité de m’adresser à vous dans les mêmes termes.

Il y avait des signes avant-coureurs : des "nasebroques", dont un des lanceurs de cocktails Molotov (le mineur), avaient réinvesti le hall de la tour A3 dimanche dernier, en laissant mégots, reliefs de Mac Do (prune 150€).

Des crachats faciles à prélever ont été déposés sur les portes des ascenseurs.

Les arcades du 10 rue Pierre Corneille étaient remises en service dans la nuit de jeudi à vendredi (quand allez vous vous décider à les murer ?).

Suite logique, la tour a été à nouveau le théâtre d’une mise à sac cette nuit, avec tapage nocturne et émeute d’après les habitants, ce qui fait que tout le monde se terre dans ses appartements de peur d’une maladresse de votre part qui tourne mal. Ce sont les néons d’un ascenseur qui ont été détruits volontairement et sauvagement. Il y a des bouteilles dans un sac à disposition de la police pour prise d’empreintes dans l’escalier principal. C’est vrai, c’est loin.

Ca craint pour cette nuit, vu que le régisseur a terminé son service vendredi à 18h, que les affirmations de la SAGIM au sujet des astreintes sont totalement gratuites et qu’à ma connaissance aucun arrêté municipal ni préfectoral n’a été pris pour sécuriser le bâtiment.

Vous passez une nouvelle fois pour ce que vous êtes.

A mercredi, et croisez les doigts pour cette nuit, prévenez les pompiers !

J’ai le plaisir insigne de vous adresser mes félicitations les plus distinguées.

 

SPECTACULAIRE CONTRE FEU (21.01)

 

L'ECHO JOLI s'était posé la question dès le départ de cette histoire à rebondissements, de savoir comment la presse allait essayer de voler au secours d'un maire et de deux adjoints sur la sellette, et qui ont au dessus de leur tête l'épée de Damoclès de l'ouverture d'une information judiciaire.

Après avoir tenté de minimiser et passer l'événement sous silence, on passe à la contre-attaque. C'est OUEST qui s'y colle avec une page complète sur le quartier DELAUNAY (20.01), pacifié à coup de 20 millions d'euros et la démolition d'une bonne centaine de logements;

Bizarrement, l'EVEIL du 21.01 reste muet comme une carpe, bien qu'aillant demandé des documents (intervention politicarde à la massue ?). On verra bien pour le PAYS D'AUGE de vendredi.

En fait, à DELAUNAY, ils ont viré les fauteurs de trouble (dont un certain Tamarovski, qui fout la trouille à tout le monde sauf à moi) et les ont recasés à HOTVIL, entre autres. Après, notre adjoint à la sécurité, trouillomètre à zéro en bandoulière, se plaint dans un mail qu'il nous a adressé que ce soit le souk ailleurs. Tant que c'est des feux de poubelles dans des sites à petits immeubles que les pompiers peuvent évacuer rapidement, ça va, mais dans les tours de 14 étages c'est une autre paire de manche. Le contrôle rigoureux des faits et gestes des nasebroques, qui ne comprennent qu'un seule chose, la force, devient un impératif.

C'est d'ailleurs cette faute de goût qui leur est reprochée.

Reste que le caillassage des pompiers de 2001 est resté en travers de la gorge de ces messieurs (au point de l'évoquer dans le mail cité). Cet épisode tragi-comique mérite d'être compté de mon point de vue. Habitant à côté de la caserne, gros remue ménage. Je vais aux nouvelles, c'est le branle-bas de combat, avec des pompiers très énervés et des keufs partout. Des énergumènes allument des feux et canardent les pompiers depuis les toits. Sont effectivement pas là pour ça. Je me suis déplacé dans le quartier à pieds, et là tout était calme, toutefois trois voitures (dont une voiturettes) faisaient la navette entre la caserne et le quartier pour faire le guet et informer les artilleurs.

Face à une insurrection de cette nature (pilotée par les adultes ?), il ne faut pas hésiter, on charge d'abord et on fait le tri ensuite.

Au lieu de cela, les "autorités" ont envoyé au charbon un camion de pompiers tout seul, sans protection. Des champions.

Depuis, DELAUNAY est devenu un endroit sélect, sans doute le plus beau parc résidentiel de Lisieux "on a de la place pour jouer au foot", mais on s'y ennuie...

Démolir la barre, à la rigueur, mais les petits immeubles de quatre étage, c'était mettre de l'argent par la fenêtre.

Je le répète, le problème ce n'est pas les immeubles, c'est de civiliser les habitants, et si ça va pas, on expulse. La loi permet de prononcer des confiscations et des interdictions de séjour dans la commune. Une fois que t'en as allumé un, t'en fais pas, ça calme les esprits. C'est d'ailleurs ce qui s'est passé pour la tour A3. Un tract (avec rappel du code pénal), une pétition, des arrestations avec expédition au Tribunal et 3 ans à la clé, et tout d'un coup, ça baigne.

En plus, à DELAUNAY, il y a de la place pour reconstruire sympa, mais, et c'est là une faute grave de l'adjoint au logement, rien n'est prévu pour le moment, alors que soit disant Lisieux manque de terrains. Et n'allez pas me dire que les organismes HLM n'ont pas d'argent, vu de bilan de la SAGIM, on roulerait plutôt sur l'or.

Au fait, le PCA de la SAGIM, a-t-il touché des bonus pour son réveillon pendant que ses locataires étaient morts de trouille coincés dans leur tour ?

 

 

LA BAUDRUCHE SE DÉGONFLE (18.01)

 

Sacré Nanard, ses coups tordus pour se défiler et se défausser "c'est pas ma faute", il y a longtemps qu'on a pigé. La méthode a ses limites.

Après s'être ramassé un courrier et une pétition de l'organisatrice de la rébellion dans la TOUR INFERNALE, il daigne répondre... par l'intermédiaire de son adjoint déchu à la sécurité. T'as pas compris mon pote, c'est toi qu'ils veulent voir, les camarades De la Crouée et Mercier des Rochettes, des noms à se coucher de bon matin avec vue sur le panier, ils ont compris qu'il n'y avait plus rien à en tirer.

Quand les fusibles ont sauté, le disjoncteur se retrouve en première ligne. Dégonflé va !

C'est pareil, le commissaire de police, ils veulent le voir en direct live, pas question de déléguer un simple lampiste brigadier comme à la dernière réunion. Les gens du quartier ont des questions à lui poser, par exemple pourquoi il a attendu huit jours pour interpeller les amateurs de cocktails Molotov.

La SAGIM, c'est pas le régisseur, ni le petit chef local qui devra se déplacer, mais the big boss (un mufle qui ne s'est pas encore excusé auprès de ses locataires), celui qui a fait 4 millions d'euros de bénef et n'était pas capable de payer un vigile pour virer la racaille à la Sarko qui traînait dans l'immeuble (encore dimanche vers 0h30, dont un habitant de l'immeuble et le mineur incendiaire aux cocktails Molotov mineur, qui se branle d'être convoqué par le juge, ce matin des déchets partout dans le hall, la prochaine fois je les vire à coup de pompe dans le cul).

Maintenant plus besoin de vigile, les autres nasebroques se terrent en attendant de passer à la casserole au tribunal au mois de mars. Leurs vieux peuvent préparer un dossier CETELEM ou SOFINCO pour payer les amendes et les avocats.

Mr le Sous-Préfet évitera de déléguer son secrétaire, et de prendre des vacances sous ses cocotiers à ce moment là.

Si Monsieur le Procureur de la République veut mesurer l'état psychologique des victimes évacuées, pour placer le curseur au bon endroit lors du procès des incendiaires pincés (mais pas encore ceux qui ont mis le feu à l'immeuble) le 24 mars, il est cordialement invité.

Les inscriptions à la gloire de la femme de ménage, de la police et du camarade Thomas P. à qui était promis une balle dans le fion ont été effacées jeudi (quatre jours pour trouver un Karcher). L'immeuble est pour la première fois depuis que la SAGIM l'a racheté il y a quatre ans dans un état de propreté normal.

 

LES NASEBROQUES SONT DE RETOUR (15.01)

 

Retour progressif à la normale, les nasebroques sont de retour au 10 rue Pierre Corneille. L'adjoint a la sécurité, que nous surnommons "du Trouillomètre à Zéro" va devoir s'en occuper, sinon dans huit jours, on ressort les grandes échelles.

Il nous a écrit. C'est atterrant.

 

LES NASEBROQUES SE REBIFFENT (12.01)

Ce titre à la Audiard, pour dire que dimanche après-midi les tagueurs ont repris du service dans le hall. Ils niquent la femme de ménage et un certain Thomas Petiteville se prendrait "une balle dans le cul". Menace de mort, code pénal, c'est trois ans. Mine de rien de telles inscriptions valent au minimum à leur auteur 3750€ d'amende. Pour abandon d'un déchet quel qu'il soit c'est contravention de 2ième classe, 150€. Avis aux consommateurs de bière dans les escaliers.

Après avoir laissé s'installer une insurrection, pour redresser la barre, ça va être dur. Il serait temps que la maison poulaga songe à protéger les témoins, le meilleur moyen étant de foutre au trou ceux qui seraient tentés d'intenter.

La SAGIM, ça va, 4 millions d'Euros de bénef 2007 pour 24 millions de chiffre, du 20% de rentabilité nette, ça fera rêver Madoff au fond de sa geôle. Evidemment, les travaux vont commencer par la tour qui est dans le meilleur état, il faut dire qu'il y a des bureaux, alors.

A suivre, car ça va être de plus en plus comique.

 

LE PAYS D'AUGE SE FEND D'UN ARTICLE (09.01)

 

Il y a du progrès, le Pays d'Auge (un peu forcé par les quolibets goguenards de ce site), se fend d'un article, disons correct. On y parle de "tirer la sonnette d'alarme", non, non, c'est carrément la sirène.

Les fins limiers du commissariat ont finit par en cueillir deux, en attendant la suite (NDLR c'est six, mais on l'a su quinze jours après). De toutes façons tous ces petits morveux complètement camés vont se balancer les uns les autres. C'est sans doute la raison pour laquelle ils ont fait profil bas ces derniers temps, à la grande satisfaction de la femme de ménage qui n'a plus leur merde à ramasser tous les jours.

Marrant : il y avait 30 Gendarmes Mobiles en renfort cette nuit là. Vraiment des glands, il y a eu dix incendies, pas foutu de coxer un nasebroque (NDLR si, voire plus haut). La prochaine fois les gars, pour le préventif, vous demandez, on vous dira, deux trois coffrés à priori, et leurs copains vont rentrer chez papa maman pour le réveillon.

Des qui doivent être contents ce sont les habitants du 10 rue Pierre Corneille, qui n'ont plus un ramassis de débiles sous leurs fenêtres à glander, brailler et faire les cons avec des mobs pourries jusqu'à une heure du matin voire plus. Le général hiver y est aussi un peu pour quelque chose. Les parents des traîne-la-rue aussi, des fois qu'ils se ramassent une facture et une interdiction de séjour au CCAS.

C'est quand même marrant, quelques lettres recommandées (avec rappel du code pénal), une pétition, un tract vachard et tout est calme. La paix publique est bien une question de volonté politique. CQFD. Et comme volonté et Nanard, ça fait deux, ça recommencera de toutes façons tant qu'il s'accrochera au canapé de son bureau.

3m€ vont être investis dans ces immeubles (20000€ par appartement). C'est beaucoup et va sans doute leur rendre le lustre qu'ils avaient.

Si c'est pour retourner à la case départ à cause d'un trouillard, c'est vraiment de l'argent foutu par la fenêtre.

 

 

COUCHE DE FINITION : LE DOSSIER EST MÛR (09.01)

 

La SAGIM s'en ramasse une petite dernière pour la route :

 

J’apprend incidemment que le régisseur Mr HUSSON était en congés, d’après ses dires.

Comme la femme de ménage l’était aussi, et qu’il n’y avait pas de remplacement ni d’astreinte, on peut considérer que vous avez abandonné cet immeuble sans surveillance une nuit que la ministre de l"intérieur elle-même considérait comme à problèmes.

Cela fait donc remonter les responsabilités d’un cran dans la hiérarchie de votre organisme.

Nous vous rappelons les termes du code pénal qui s’applique avec précision aux événements qui sont survenus :

(rappel du 322-5 ci-dessous)

Je m’étonne également du fait qu’il vous a fallu une bonne semaine pour remettre les lieux en état, mais on est loin du compte, l’escalier de secours n’est toujours pas nettoyé par exemple.

Votre silence, pas un mot d’excuse, ni une quelconque empathie, ne plaide pas en votre faveur.

Avez-vous déposé plainte ?

 

 

ON AVANCE (08.01)

Huit jours après la bagarre, l'immeuble reprend figure humaine, les escaliers sont propres, tags effacés (pas tous ?), ça sent le pin des landes au lieu des odeurs habituelles : pisse, tabac, cannabis, bière oxydée, résidus de Mac Do. On est pas allé jusqu'à nettoyer l'escalier de secours et l'entresol où il y a des déchets datant de plusieurs mois. Faut tout leur dire. On voit déjà réapparaître des sacs poubelles laissés à l'entrée (il y a 10m à faire).

Les nasebroques se font rares, y compris en face au 10 rue Pierre Corneille. Comme quoi un petit tract suffit à faire dégager. C'est pas gagné, mais il y a du progrès. Ce que l'adjoint au maire et la maison poulaga ont été incapables d'obtenir depuis des mois a été réalisé par un citoyen, ma pomme, sans pouvoir ni titre, du jour au lendemain. 

Le petit con qui "nike la police" et la mère de ses copains au 14° aurait été identifié. Ce qui serait pas mal, c'est qu'il se ramasse une plainte et les parents la facture de l'ardoise du nettoyage. En général ça calme les abrutis un moment. S'il recommence, va falloir me vider ça vite fait.

Une journaliste de l'EVEIL semble s'intéresser à cette affaire. Fais gaffe cocotte aux molosses de la mairie.

La brosse à reluire de Nanard a rendu visite aux estropiés hospitalisés, un humaniste.

Par contre, les habitants attendent toujours une lettre d'excuses de la SAGIM ou de la mairie, pourtant, à notre connaissance, le dirlo n'est pas encore en tôle.

 

 

LA DIRECTION DE LA SAGIM EST TRÈS MAL (07.01, 12h)

En effet, le régisseur (Mr Husson) était en vacances, non remplacé, comme la femme de ménage. Ce fait fait remonter la responsabilité de l'accident un étage hiérarchique au dessus. De fil en aiguille l'encostardé en chef grassement payé à la Nanard va bien finir par être mis en cause, en tant que personne morale, mais aussi physique (cf ci-dessous le code pénal).

Bref, l'immeuble, le plus vulnérable de la ville a été laissé sans surveillance cette nuit qui s'annonçait chaude.

Les émeutiers et incendiaires avaient la voie libre.

Au fait, au conseil d'administration de ce machin, il y a qui au juste ? A suivre !

 

 

EDITO DU 07.01

 

Les gribouilleux de OUEST FRANCE et LE PAYS D'AUGE se sont contentés de publier des fragments d'information mensongers (probablement délivrés par le commissariat). Il faut dire que la maison poulaga a aussi intérêt à minimiser un max, en effet, les coups de menton guerriers de MAM (Michèle Alliot Marie) s'étant traduits par un échec total, elle va se défouler, en bonne UMP sectaire, sur les lampistes.

Le commandant GARCIA va avoir du mal à expliquer que les feux ayant commencé à 20h30 et s'étant terminés à 5h du mat en apothéose, il n'a pas pu choper un seul émeutier (NDLR, on l'a su seulement le 13.01 par un petit entrefilet du Pays d'Auge).

D'ailleurs combien y avait-il de flics sur le terrain cette nuit là ? En dehors du réveillon au commissariat s'entend.

En tous cas, des pompiers, ce n'était pas ce qui manquait. Ils s'en sont d'ailleurs pas mal sortis, selon tous les témoignages. Un conseil pour la "racaille", merci de foutre le brin le jour de la Sainte Barbe, comme ça je suis sûr de passer une bonne nuit.

L'EVEIL a fini par contacter une survivante (et encore, il a fallu user d'influence) pour un article... à la gloire des pompiers.

Le PAYS D'AUGE, abject comme d'hab, a consacré deux pages à la propagande de la mairie mardi. Il paraît qu'il ne peuvent pas faire autrement sinon ils n'auraient plus la soupe fabriquée par DBL. On peut s'en passer les gars.

Reste que le dossier suit son cours, et quand ce sera bien mûr --on en apprend tous les jours-- un paquet cadeau partira à qui de droit.

 

LE OU LES INCENDIAIRES COURENT TOUJOURS (05.01, 12h)

Faut en effet pas l'oublier, le ou les incendiaires sont toujours dans la nature. Les pièces à convictions matérielles jonchaient encore les escaliers hier soir, la maison poulaga va-t-elle se décider à aller les ramasser ? Les gars, j'ai demandé aux femmes de ménage de garder les déchets. Faut tout faire pfff... (NDLR : tout a été nettoyé, les pièces à conviction à la poubelle, c'est plus cool).

 

Au fait que dit le code pénal ? : 

Article 322-5

La destruction, la dégradation ou la détérioration involontaire d'un bien appartenant à autrui par l'effet d'une explosion ou d'un incendie provoqués par manquement à une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement est punie d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende.

En cas de violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence prévue par la loi ou le règlement, les peines encourues sont portées à deux ans d'emprisonnement et à 30000 euros d'amende.

Si cet incendie est intervenu dans des conditions de nature à exposer les personnes à un dommage corporel ou à créer un dommage irréversible à l'environnement, les peines sont portées à trois ans d'emprisonnement et à 45 000 Euros d'amende dans le cas prévu par le premier alinéa, et à cinq ans d'emprisonnement et à 100 000 Euros d'amende dans le cas prévu par le deuxième alinéa.

(NDLR : c'est au moins le cas)

Si l'incendie a provoqué pour autrui une incapacité totale de travail pendant au moins huit jours, les peines sont portées à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 Euros d'amende dans le cas prévu par le premier alinéa, et à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 Euros d'amende dans le cas prévu par le deuxième alinéa.

(NDLR : c'est le cas, il y a eu quatre personnes hospitalisées)

S'il a provoqué la mort d'une ou plusieurs personnes, les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 Euros d'amende dans le cas prévu par le premier alinéa, et à dix ans d'emprisonnement et à 150 000 Euros d'amende dans le cas prévu par le deuxième alinéa.

 

Article 322-6

La destruction, la dégradation ou la détérioration d'un bien appartenant à autrui par l'effet d'une substance explosive, d'un incendie ou de tout autre moyen de nature à créer un danger pour les personnes est punie de dix ans d'emprisonnement et de 150000 euros d'amende.

(NDLR : c'est ce que risquent les incendiaires, autant dire que les tarés qui ont mis le feu et leurs connards de parents qui les ont laissé traîné la nuit à 5h du mat sont dans leurs petits souliers)

 

POUR COURONNER LE TOUT : UNE PÉTITION (05.01)

 

Une pétition a été signée hier par TOUS les habitants de l'immeuble. Elle réclame une mise en sécurité rapide, la mise en place d'une surveillance et la tenue d'une réunion avec toutes les parties concernées (celles qui se sont ramassé les lettres ci-dessous).

Aux dernières nouvelles, celui qui a déposé le réfrigérateur est allé le dire à la police. C'est déjà ça.

Il a fallu que les pompiers défoncent la porte d'une dame sourde au 13ième qui ne savait évidemment pas ce qui se passait. Imaginez la terreur...

A suivre.

 

 

AU TOUR DE LA SAGIM DE SE FAIRE DÉGOMMER (04.01)

 

Messieurs,

Depuis la reprise de la gestion des trois tours de Hauteville par vos soins, la situation n'a fait que se dégrader. J'en ai parlé à plusieurs reprises à l'adjoint au logement et sur mon site internet, prémonitoire.

En laissant s'installer des marginaux, zombies, drogués, traînards, zonards, sans réagir, et sans expulser les fauteurs de troubles, vous vous retrouvez avec un immeuble détruit, hors sécurité, qui est devenu une poubelle et une zone de non droit.

Votre régisseur ne fait jamais de ronde, ni la police qui se terre dans ses véhicules.

Les locataires qui ne demandent qu'à vaquer à leurs occupations paisiblement sont donc mis en coupe réglée et sont en danger.

Votre régisseur est un irresponsable, il aurait dû cette nuit du réveillon qui a été annoncée comme chaude par la ministre de l'intérieur elle même, visiter les caves pour débarrasser les déchets et en particulier le réfrigérateur qui a été incendié volontairement. C'est une faute professionnelle grave.

La femme de ménage, dont le courage est à saluer, était en vacances, et n'a pas été remplacé pour ses congés. C'est là aussi une faute grave, car le fait que des inscriptions faites deux/trois jours avant n'ont pas été effacées, a été interprété par les "nasebroques" comme un signe d'abandon. Cela a sans doute incité au passage à l'acte.

J'estime que vous êtes des incapables, et qu'il convient de faire en sorte que la gestion de ces immeubles vous soit retirée.

C'est le sens d'un courrier que j'ai adressé au Sous-Préfet.

Je souhaite vivement que vous soyez mis en examen et renvoyé devant les tribunaux pour y être sanctionnés.

Compte tenu du traumatisme et de l'angoisse (surtout pour les enfants) qu'ont subit les locataires pris au piège dans ce navire fantôme envahi par des fumées toxiques, je ne vous salue pas.

 

A ANGELINI 

 

 

 

 ET POUR FAIRE BONNE MESURE UNE COUCHE A NANARD (04.01)

Monsieur le Maire,

Compte tenu de vos choix politiques idéologiques, et de la dégradation que j’ai observé sur le terrain, dont j’ai parlé à plusieurs reprises dans l’ECHO JOLI, j’étais persuadé qu’un jour ou l’autre se produirait un incident majeur.

C’est fait.

Et de quelle manière ! Plus de cent personnes prises au piège dans un immeuble envahi par des fumées toxiques la nuit du réveillon, ce n’est pas banal.

Vous portez, vous et vos adjoints à la sécurité (un comble) et au logement (également) une lourde responsabilité.

Je vous ai toujours considéré comme un incapable.

Quand tout va bien, les individus de votre espèce sont à leur aise, ils plastronnent, font de l’esbroufe, bercent leur concitoyens d’illusions.

Maintenant, ça va mal et cela va s’aggraver du fait de la crise.

Je sais que vous n’êtes pas à la hauteur, vous qui vous auto-congratulez en vous qualifiant "d’humaniste" et "d’altruiste".

Les Lexoviens vont donc s’enfoncer avec vous si vous restez au pouvoir.

A vous d’en tirer les conclusions.

 

 

INCENDIE DE LA TOUR DE HAUTEVILLE

LA MUNICIPALITÉ LOURDEMENT RESPONSABLE (02.01)

 

L'incendie de la tour n°1 de HAUTEVILLE la nuit du réveillon est tout sauf le fruit du hasard.

Petite lettre au commissaire de police, transmise à la Sous Préfecture :

"J’avais informé Paul Mercier, adjoint au logement, en janvier 2008 de la dégradation de la situation, d’attroupements en face sous l’arcade du 10 rue Pierre Corneille. Strictement rien n’a été fait. Je l’ai d’ailleurs rencontré hier midi et lui ai rappelé mes mises en garde entre quatre yeux.

Nous sommes face à une sorte de guérilla urbaine larvée entre les habitants et un certain nombre d’asociaux que vous et les services sociaux n’arrivez pas à maîtriser. Les lamentations de Mr De la Crouée, adjoint à la sécurité, un incapable qui porte une lourde responsabilité dans cette affaire, paraissent maintenant bien dérisoires.

La politique stupide de la municipalité qui a consisté à détruire des immeubles à Delaunay pour reloger à Hauteville est aussi une des sources du problème posé. Un feu allumé dans un petit immeuble est beaucoup moins dangereux que dans une tour de 14 étages, il y a eu des précédents avec plusieurs morts. La preuve, il a fallu évacuer.

L’immeuble est habité par au moins un dealer (auparavant il y en avait deux, mais un a été expulsé), dont la "clientèle", une faune interlope, consomme souvent sur place dans les escaliers. Il convient d’expulser ces individus, sinon on n’arrivera pas à en sortir.

Ces escaliers sont le siège d’agapes nocturne, les déchets restant sur place. D’ailleurs, l’escalier principal et celui de secours sont jonchés de détritus qui ont les empreintes et ADN de ceux qui y ont réveillonné. Ils auraient dû être ramassés (NDLR : j'ai demandé aux femmes de ménage de garder ces déchets, des fois que la police scientifique ait un moment de libre).

Il y a deux/trois jours, des inscriptions ont été faites aux marqueurs bleu et rouge dans les ascenseurs, en citant des prénoms. Le chiffre 14 fait irrésistiblement penser au 14ième étage. Il ne devrait pas être très difficile de retrouver le propriétaire des marqueurs qui "nike la police" et la mère de ses copains, peut être a-t-il des choses à raconter (NDLR : dimanche 4 janvier, toujours pas nettoyé, on ne va tout de même pas déranger le régisseur un week-end, les ascenseurs étaient à nouveau en panne, il vaut mieux d'ailleurs ne plus les prendre, rester coincé avec un zombie gris-verdâtre en manque n'est pas vraiment une partie de plaisir).

Il est nécessaire de recueillir le témoignage de la femme de ménage (NDLR en vacances non remplacée) qui habite l’immeuble et connaît bien la situation réelle.

Les régisseurs de la SAGIM, responsable aussi du fait de ses carences, m’ont semblé désabusés. Il faut dire que cet incendie signe leur incapacité à gérer l’immeuble (ils étaient avec Paul Mercier jeudi midi).

A noter que les "groom" de fermeture des portes de l’escalier de secours sont pour la plupart détruits

NDLR : des débris sont dans l'escalier principal, ce ne sont donc pas les pompiers qui les ont mis là, mais bien les incendiaires, quand la maison poulaga va-t-elle se décider à ramasser ces preuves matérielles ?

On finit par se demander si ces négligences de l'enquête sont volontaires ou de la pure incompétence.

J’ai refermé toutes ces portes.

Actuellement l’immeuble est totalement en insécurité, avec des portes coupe-feu hors service et devrait être surveillé, dommage pour le chiffre d’affaire des dealers."

 

NDLR : évidemment, lors de l'incendie, l'éclairage de secours ne fonctionnait pas, un bon tiers des portes coupe-feu étaient ouvertes comme d'habitude.

C'est toujours une poubelle.

Les nasebroques sont déjà revenus dans le hall, avec les mobs sans plaques volées (le casque est également superflu dans cette zone de non droit). Le doigt d'honneur à la patrouille est la principale occupation de la journée.

 

 

 

LE SOUS-PRÉFET SE RAMASSE UNE BAFOUILLE (02.01)

 

Monsieur le Préfet,

 

L’accueil particulièrement charmant et fleuri que vous a fait la municipalité était-il destiné à camoufler des carences rédhibitoires ?

En tous cas, l’incendie de la tour de Hauteville, qui aurait pu se terminer de façon dramatique, vous met devant vos responsabilités en tant que représentant de l’Etat.

Il faut cerner les responsabilités, au niveau des politiques d’abord, Paul Mercier, Daniel de la Crouée et Bernard Aubril sont lourdement impliqués par leur politique du logement et de sécurité désastreuses où l’idéologie de l’UMP est la ligne directrice, face à des réalités sociologiques incontournables.

J’espère qu’un juge d’instruction fera la lumière.

L’impuissance des services de police sans directives ni arrêtés municipaux a été soulignée par les naufragés de cette nuit de réveillon.

Il est clair que la SAGIM est incapable de gérer ces trois tours et il faut se poser la question de devoir changer de gestionnaire, quitte à faire appel au privé, aux méthodes souvent plus pragmatiques.

La présence de dealers, de squatters et de bandes hors la loi dans cet immeuble est avérée.

Ceux-ci doivent être expulsés sans états d’âme.

Je vous prie d'agréer, Monsieur le Préfet, mes salutations distinguées,

 

EDITO DU 02.01

L'année commence très mal, avec un feu de joie pour Nanard et ses sbires (comme pour Sarko et "Mam" avec les incendies de voitures).

L'incendie de la tour de Hauteville dans la nuit du réveillon met en exergue les carences de l'équipe de nuls qui exerce ses talents à la Mairie :

-- Paul Mercier "Monsieur UN logement", adjoint au logement, a mené une politique débile consistant à détruire des petits immeubles qui auraient très bien pu être réhabilités, en déplaçant les "nasebroques" qui y habitaient sur Hauteville, le "bordel" a suivi.

-- Daniel de la Crouée, qui passe son temps à faire des réunions avec les habitants pour leur faire croire qu'il s'intéresse à leur préoccupations. Ce type est un incapable et devrait donner sa démission,

-- Bernard Aubril, un maire qui passe son temps à faire de l'esbroufe et à s'agiter au lieu de résoudre les problèmes. Resté tranquille dans ses couettes cette nuit là, à moins qu'il ne soit parti bronzer au soleil pour dépenser ses 8000€ par mois. C'est une des "fraîches" qui s'y est collée.

La SAGIM, le gestionnaire de l'immeuble, qui a laissé se dégrader la situation, non seulement se ramasse dans la bagarre une ardoise de réparation gratinée, mais est sur la sellette sur sa capacité professionnelle. Il n'est pas certain que la Préfecture laisse longtemps ces rigolos gérer cet immeuble, cela devient trop dangereux.

Il va donc falloir que notre trouillhumaniste de maire s'occupe du problème. Cela passe obligatoirement par quelques expulsions : on ne peut plus rien tolérer dans ces immeubles sous peine de se retrouver avec des morts un jour ou l'autre. Pour lui, c'est atroce, prendre des décisions désagréables dans une ville de bizounours !

 

 

 PETITS RAPPELS

 

PAIX PUBLIQUE (01.11.08)

 

Comme nous l'avions indiqué, une réunion sur l'insécurité a eu lieu à HOTVIL. Le commissaire est resté dans son bureau à moins qu'il n'ait été retenu à dîner par le futur shériff de la police municipale, qui sera principalement constituée de nos charmantes contractuelles transformées en pistoleros.

Bonne nouvelle, Nanard est incapable d'obtenir des renforts et s'est fait sucrer les CRS l'été, c'est dire s'il a le bras court et surtout coupé à raz par les marquises, qui elles, en ont, du CRS s'entend.

Il y avait du monde, à la hauteur du raz le bol, et c'est la brigadier chef Delyot qui a ramassé pour ses chefs qui se sont dégonflés.

Il paraît qu'il ne faut pas hésiter à appeler le commissariat. Problème, quand on fait le 17 on tombe sur un ahuri à... Caen. C'est un bon truc pour décourager le plaignant : le temps de s'expliquer, de dire où c'est à un type qui ne connaît pas les lieux, la rixe est terminée et la vieille dame n'a plus de sac.

La dernière fois que j'ai appelé, le type a tourné sans casque pendant trois quart d'heure avec une moto sans pot. Ca s'est arrêté faute d'essence.

C'est pareil pour le 18, avec les confusions, il est arrivé qu'un pompier à la retraite décède à 500m de la caserne de Lisieux. A la limite t'as plus vite fait d'aller les réveiller pour les emmener sur place en vélo. Quand tu veux coxer un ennemi, il faut dézinguer en premier le radio. C'est ce qui est arrivé aux soldats en Afghanistan.

Les liaisons, c'est ce qu'il faut soigner le plus, or là, on délocalise. Autre avantage, comme il y a un échelon supplémentaire, on peut invoquer une erreur en cas de pépin ou de citoyen récalcitrant. Diluer les responsabilités comme la pollution est une spécialité des humanistes.

Daniel du Trouillomètre à Zéro a encore une fois botté en touche, il "faut renouer le dialogue". Le dernier qui a essayé s'est fait tabasser à 4h du mat aux quatre sonnettes.

On t'a pourtant déjà explique ce qu'il faut faire, mon pote, c'est pas compliqué. Un ou deux arrêtés municipaux ciblés, une information des parents sur les délices du code pénal et le montant des amendes si leurs Dieux Vivants sont ramassés par la rousse, et, tout de même, trouver un éducateur capable de faire la rue le soir. Il y en a bien une bonne trentaine à Lisieux. Sûrement plus utile que rhabiller une contractuelle en Rambo.

Quant aux "jeunes", ils sont beaucoup plus accessibles qu'on ne le croît, ils disent facilement bonjour, respectent à peu près l'interdiction de fumer, mais s'ils sentent que le citoyen qui déplore n'est pas soutenu par la municipalité, il va s'enhardir, c'est humain et normal chez les K-sos.

Faudrait commencer par renouer le dialogue avec les citoyens, faire de l'îlotage, rien qu'en faisant une tournée chez les commerçants on finit par tout savoir.

Encore faut-il en avoir la volonté.

 

 

 

LE DÉSASTRE INSÉCURITAIRE AUBRILESQUE

 

LES NAZBROCKS S'ATTAQUENT AUX ÉLUS

 

 

A peine l'encre de l'édito prémonitoire du 23.06 au soir sèche, on apprenait le lendemain et mercredi dans l'Eveil que la "terreur" régnait à Hotvil.

L'édito de l'ECHO JOLI se terminait ainsi : 

"Si, si, ça peut arriver à Lisieux. Cela fait cinq mois que j'ai signalé à l'adjoint au logement (le médaillé du lapinisme par personne interposée) des attroupements à Hotvil qu'il convenait de disperser, toujours rien de fait."

Depuis, il y a eu une grosse chique dans le Tribunal lui-même, avec les voyous en short de l'USL. Maintenant, ils pètent la tronche au Proc quand ils sont condamnés. Du jamais vu.

Vendredi 27 juin, les emm... se sont accumulés : le commissariat a été tagué et nettoyé dans la foulée le matin. Comme quoi quand on veut que ce soit propre on y arrive. Si t'es citoyen de base tu te démerdes "t'as qu'à faire ça en même temps que ton ravalement" dixit l'homme en brosse. Vous allez voir que les tagueurs de la maison poulaga vont, eux, être retrouvés, forcément, ils les connaissent.

Toujours vendredi, deux Bretonnes se sont fait agresser place Mitterrand par des ivrognes. La patrouille a rien vu. Un pote leur a conseillé d'aller raconter leur histoire chez OUEST FRANCE, et que ce n'était même pas la peine d'aller au commissariat. 

Des manouches se sont installés au vert Bd Paul Doumer, l'endroit est bucolique, le long de la rocade nord-est, quant à ceux qui font des feux de joie près de la voie ferrée et du poste GdF, sont toujours là. Ca patauge un peu dans le PCB des transformateurs qui ont été percés sur place mais bon. Avec tout ce plastique brûlé à petit feu comme à Naples, il y a de la dioxine partout dans le coin.

Le maire de St Désir s'est fait tirer sa bagnole après s'être fait taxer ses drapeaux. Le camarade Turpin, conseiller municipal et grand zélateur de Nanard lui aussi s'est fait tchourer son carrosse. Sûr qu'il a félicité chaleureusement l'incapable adjoint chargé de la tranquillité publique. Pas la peine de faire une police municipale, les bureaux et mobylettes vont cramer dans les 24 heures.

A quand le viol d'une élue sur la voie publique ?

Aux mercredis de l'été, moi je vous dis, vu la faune des années précédentes, ça craint.

Ils paniquent, une réunion a eu lieu à la mairie le 18 juin, à laquelle assistait un certain Fabrice Alexandre, membre du conseil d'administration de l'OPAC la bien nommée, au titre de la CNL, avec notre pétochumaniste, l'adjoint à la "tranquillité publique" et le commandant Garcia.

Le dénommé Fabrice Alexandre a organisé une réunion jeudi 26 à Horvil, sans doute pour porter la bonne parole de l'OPAC et des trouillards de la mairie. Les habitants présents (et au moins un politique) en ont mis plein la tronche aux élus et aux flics.

De toutes façons, tant qu'il n'y aura pas d'arrêtés municipaux, la ou les patrouilles feront le strict minimum pour rentrer intacts avec un véhicule pas trop cabossé. Il faut se mettre à leur place, ce sont des pères (mères) de famille comme les autres, les ITT très peu. Une reconquête du terrain ça s'organise, et il faut être prêt à faire face à une échauffourée qui peut se déclencher à tout moment et vite dégénérer. Et quand c'est parti, il faut vaincre.

On prend les paris : l'émeute à la Vitry le François n'est pas loin. Il fait chaud, les nazbrocks sont énervés, et Nanard est planqué sous son bureau.

Petit conseil aux habitants : surtout n'intervenez jamais personnellement (c'est la santé de votre auto et de vos enfants qui est en jeu, les nazbrocks sont des lâches), notez les faits sur un carnet, à la rigueur prenez des clichés, ne déposez pas plainte, les nazbrocks le sauront, écrivez simplement au commissariat (Mr Garcia), avec copie à la mairie à l'attention de Mrs De la Crouée et Aubril, avec vos noms et adresses, en réclamant l'anonymat. Vous pouvez nous transmettre une copie de vos doléances (votre anonymat est garanti). Nous vérifierons les informations, donc pas de dénonciations calomnieuses. 

 

Rappel Edito du 23.06 : Les médias contrôlés par la bande à Sarko ne se sont pas appesantis sur l'émeute de Vitry le François. On ne peut pas dire que cette ville de 17000 habitants semblable à Lisieux soit un repaire cosmopolite.

Après un règlement de compte pour une histoire de drogue, dans une cité semblable à celle de Hotvil, les bandes informelles de jeune paumés se sont transformées en redoutables commandos semant la terreur.

Si d'ordinaire, les premières victimes sont ceux qui travaillent et se retrouvent sans voiture, là le déferlement est sorti du ghetto pour ravager les rues dans les quartiers résidentiels alentours.

Fallait voir la tête des mémés le lendemain matin avec les carcasses de voitures calcinées devant le pavillon.

Il faut dire que, découvrir d'un coup qu'on est au bord de la guerre civile, venant des zones de non droit, ça fait tout drôle.

Cette histoire a été évoquée avec force sociologues et criminologues dans l'intéressante émission "C dans l'air". L'écho joli avait bien pigé le truc.

Si, si, ça peut arriver à Lisieux.

Cela fait cinq mois que j'ai signalé à l'adjoint au logement (le médaillé du lapinisme par personne interposée)? des attroupements à Hotvil qu'il convenait de disperser, toujours rien de fait.