Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps

 

        

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 LA PAGE DU GRAND MAÎTRE

 

DE L'ORDRE DES PANNEAUX SOLAIRES

 

(Gilbert Godéreaux, adjoint aux travaux et à l'environnement)

 

MISE À JOUR DU 07.03.2010

 

 

BRÈVES DE COMPTOIR

SUR CE SUJET

 

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GILBERT : UN ROUSTON

 

PRIS  EN CAPONIÈRE

 

MAJ 13.02 : D'ordinaire, les roubignoles de l'adjoint aux travaux, celles du rond point Jean Paul II, sont brisées menu par des automobilistes dont le sous-préfet Bertin n'a pas encore sucré le permis, en dévalant l'avenue de la Basilique.

Las, un attribut masculin situé de l'autre côté a subi les outrages d'un sodomite, probablement surpris par une plaque de verglas. La coucougnette en question est déchaînée, et risque donc de dévaler la pente vers le commissariat.

On imagine la scène, le planton :

-- Que y'a ?

-- Je ne fais que débouler !

 

 

GILBERT S'EST ENCORE FAIT

 

ECRABOUILLER UN ROUSTON

 

MAJ 10.02 : Après un Fangio en 2,6 grammes, une nouvelle boule de Gilbert, au rond point Jean Paul 2, s'est fait exploser. Il va falloir un jour se couper les autres.

 

 

Avant les boules à Gilbert (dont une est toujours déchaînée et glande dans la pelouse), il y

avait la bite à Dudule, passablement amochée. Manifestement, il faut émasculer ce rond-point

et s'arranger pour accueillir en douceur les véhicules à la dérive dans un parterre de fleurs avec

un fossé suffisant pour retenir l'égaré sur place et ainsi se faire rembourser des petites fleurs écrabouillées.

La photo (recherche PF), date de juste après la guerre, les immeubles ne sont pas reconstruits.

Si ça se trouve c'est un panzer ou une jeep qui a loupé le carrefour.

 

GILBERT A LES BOULES BALADEUSES

 

 

MAJ 26.01 : Le sodomite de rond-point à boules s'en tenait une sévère à 2.6g, un litron de gros qui tache. Roule-t-il toujours ?

MAJ 22.01 : L'Echo Joli a encore une fois été prémonitoire, les boules de Gilbert ayant hérité d'une épave hier. Le système du monticule de terre bien meuble est bien le bon, une fois que le véhicule est planté, il y reste. Les perdreau du GSP du commandant Garcia n'ont plus qu'à cueillir le sodomite de rond point. Fort de cette expérience, on peut améliorer le système avec un fossé circulaire, quand les roues avant sont dedans, c'est râpé pour prendre la fuite. Il a pas de bonnes idées, l'Echo Joli ?

MAJ 21.01 : Notre Grand Maître de l'Ordre des Panneaux Solaires se lamente encore dans la presse au sujet des dégradations qui coûteraient 400.000€ par an.

L'article sur les boules qui "ornent" le carrefour en bas de l'avenue de la Basilique (carrefour Jean-Paul II) vaut son pesant de roustons à la crème. L'adjoint aux travaux déplore qu'il se fait arracher une à deux boules par mois., mais a tout de même peur qu'elles déboulent sur le boulevard Ste Anne.

Les automobilistes qui lui en écrasent une ne laissent pas leur carte de visite, car c'est des coups à avoir des ennuis : souffler dans le ballon, s'y retrouver, défaut d'assurance, pas de permis, à trois sur un scooter volé sans casque ni lumière, plein de raisons d'écraser le coup et de repartir avec ses bosses.

Il a tout essayé pour les retenir, gros boulons, scellement au béton de maçon, câbles, et comble du sado-masochisme, des chaînes.

Il faut aussi dire que ce carrefour est extrêmement dangereux pour les motards, surtout ceux qui sont en colère, et les cyclistes, suivez mon regard.

Les boules à Gilbert le sont, mais aussi la forêt de "bites" en tube peintes en vert, les fameuses Gilbertines, qui vous guillotinent à coup sûr en cas de glissade.

Même les piétons ne sont pas à l'abri de s'embrocher sur ces pièges très peu visibles. Et comme la boule du haut des bites est à la hauteur des joyeuses du pèlerin de passage, ouyouyouille mes nouilles.

L'adjoint au travaux, qui a dû avoir un prix, a disposé ses Gilbertines un peu partout en ville, les plus dangereuses étaient celles de la rue du Pré d'Auge.

Il est vraiment temps de virer tout ça, et de remplacer par des obstacles en plastique.

Pour le carrefour Jean Paul II, un bon monticule de terre bien meuble avec des petites fleurs, histoire que les indélicats qui s'emplafonnent le carrefour restent au milieu, où la pôôôlice pourra les cueillir.

Ce carrefour n'atteindra toutefois jamais les performances de celui du Breuil en Auge (à la grosse 400 véhicules au tas la première année).

Quant aux autres dégradations, incendies, bris de glace du bâtiment Wonder, elle sont, comme pour ce qui s'est passé pour la Tour Infernale, le résultat du sentiment d'impunité des vandales, qui s'enhardissent au fur et à mesure, en ayant devant eux des faibles. Ca commence par des tags non effacés et non réprimés, des dépôts de reliefs de repas Mac Do chemin de Coquainvilliers, et ça se finit par des incendies de vestiaires ou de véhicules qui coûtent la peau des boules.

En être, comme à Paul Cornu, où sévissent des tagueurs qui se prennent pour des génies du graphisme et des glandeurs de première, à filer du fric aux élèves dans l'espoir --vain-- que la petite lumière d'humanité qui reste même au fond du pire des nazebroques, va les arrêter de tout bouziller, c'est de l'angélisme.

C'est dedans respectueux et propre sur soi, ou à dégager.