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LE HÉRON SENT LE GAZ

 

(AFFAIRE CIRIEUX/HÉRON)

 

MISE A JOUR 21.09.2023

 

Cette page est classée dans l'ordre chronologique INVERSE

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 11.09.2023 : Le mur "Muideblé" dans le Cirieux est de plus en plus affouillé. Il y a pourtant un arrêté de péril qui n'est plus affiché. Je subodore un petit arrangement entre amis, puisque la mairie doit contraindre le propriétaire à faire des travaux.

Serait ce un coup tordu comme l'allée Jeanne d'Arc ?

On attend que le mur s'écroule, et comme pour la maison qui a été démolie de l'autre côté, c'est le contribuable qui rachète la bicoque et fait les travaux. Elle est pas belle la vie des #potasébastien ?

 

 

Remarque sur ce cliché, le trottoir est creusé, le revêtement est plus bas que le caniveau

et il y a un rebord au niveau de la ligne blanche : la rue est affouillée par dessous et s'enfonce.

Vu le poids des engins, les vibrations, une chance sur deux que ça s'effondre ou entraîne la chute du mur ci-dessus.

(Note du 20.09, les travaux sont terminés, mais au niveau du troisième plot, il y a eu du remblayage avec des cailloux)

 

Si la pile de droite du pont de la rue du Héron est en bon état, à gauche la pile est dans le vide.

(la réfection de la rue n'était pas programmée, forcément, vu la fragilité du pont)

 

 

 

MISE A JOUR DU 23.01.2022 : Pendant l'épisode de crue récent, une fine équipe des ch'ti nouvriers de la ville était venue voir si le pont de la rue du Héron n'était pas effondré. Notons que le mur à gauche est maintenant complètement affouillé, et que malgré un courriel s'étonnant du fait que l'arrêté de péril ne soit plus affiché sur cette propriété alors qu'il n'y a pas eu de travaux, l'effondré laisse filer. Ca va se terminer avec les pinces.

 

 

 

MISE A JOUR DU 14.11.2022 :  On va donc recauser du Cirieux rue du Héron et du Gaz (boum). Résumons, gros orage, le mur de la berge de la parcelle n°3 s'effondre, entraînant un débordement et des dégâts au pont. La maison rachetée par la ville + les travaux ont coûté bonbon. Curiosité la maison (construite au noir ?) ne figurait pas sur le cadastre. La parcelle n°2 a aussi un mur (une vraie maladie d'empiéter sur les cours d'eau, c'est aux maires de s'y opposer), jugé en mauvais état. Encore une fois, la mairie rachète, retire l'affichage des arrêtés, elle est toujours debout, sans une fissure. 

Le mur de la parcelle 17, propriété d'un certain Muideblé (un #potananard ?), qui avait vendu à la mairie des garages pourris pour agrandir le parking du gaz, est très gravement affouillé comme le montrent les clichés pris ce dimanche. Un arrêté de péril a été émis, prescrivant au locataire de ne pas utiliser une bande de terrain d'environ 2m. Cet arrêté a été retiré par le propriétaire, comme la rubalise délimitant la zone, c'est un délit.

On note aussi sur les photos que la pile du pont appartenant à la ville est aussi affouillée, on constate d'ailleurs un affaissement de la chaussée. Un gros namion, et crac !

Comme pour l'allée Jeanne d'Arc, l'expert a dû exiger des travaux. Comme le maire est un laxiste, il s'en désintéresse manifestement.

Mais il peut y avoir une raison à cela : si le mur s'écroule dans le ruisseau, il faut alors obligatoirement que le château agisse, et c'est reparti pour un troisième tour avec rachat de la maison (un bon prix pour un #potasébastien ?), voire sa démolition et réparation du mur aux frais du contribuable. C'est tout bénef, sauf qu'électoralement parlant c'est pas bon, mais au point où en est le Sébastien LECLERC...

Comme la #bandasébastien savent que je suis sur le coup, il faut biaiser pour truander. Les Deux Grâces (Clotilde Valter et Sylvie Grandin) vont n'y voir que du feu comme pour l'Allée Jeanne D'Arc. La "Brosse à Nanard", quant a lui, a fermé définitivement son clapet car il a joyeusement participé aux exploits du Clos des Bosquets et pas que. Signalons au passage que le roitelet, médaillé de la Légion d'Honneur pour avoir perdu 5000 habitants pendant ses trois mandats, n'est jamais venu en conseil municipal, c'est un scandâââle. Il fout quoi le préfet ?

La délibération 2022-175 est intitulée "Recharge du lit du Cirieux" avec un protocole transactionnel avec le Diocèse (l'école privée parcelle 21). Or les berges de la parcelle 21 ont, elles, fait l'objet de travaux avec des palplanches métalliques qui sont d'après les clichés en bon état.

Alors s'agit il en fait d'un gros mensonge pour faire les travaux de la parcelle 17 "en même temps" et en douce aux frais du contribuable, réponse tout à l'heure ?

 

 Ces clichés prouvent que le mur de la parcelle 17 menace de s'effondrer. Tout se casse la gueule dans

cette ville, même le maire est effondré, c'est dire.

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 13.04.2021 : Ceux qui suivent se souviendront que le petit reporteur de l'ECHO JOLI est plus curieux que ses collègues pros. Voici donc la réponse de la mairie :

3Dans votre courriel du 12 mars 2021, vous demandez la communication d’informations et de document concernant le 12 et 14 rue du Héron. Ces dossiers sont en cours et tous les documents préparatoires et informations que vous demandez ne peuvent par conséquent pas être communiqués, en application de l’article L. 311-2 du code des relations entre le public et l’administration. Plus particulièrement, le montant de l’achat du n°12, la contribution des assurances, le montant de l’achat du n°14 et les coûts prévisionnels de démolition et de remise au gabarit de la rive du n°14 ne peuvent vous être communiqués pour cette raison. Cependant, des éléments de réponses sont disponibles dans la délibération n°2020-145 du 14 décembre 2020 et la délibération n°2021-25 du 8 mars 2021. 

Par ailleurs, dans votre courriel du 12 mars 2021, vous demandez la communication des décisions du maire présentées aux conseils municipaux des 16 novembre 2020, 14 décembre 2020, 15 février et 8 mars 2021.

Le nombre de ces décisions, comme les documents préparatoires de la délibération n°2021-25 du 8 mars 2021 (avis des domaines du 17 décembre 2020, rapport de l’entreprise Réseaux et Fondations du 20 février 2020 et son annexe, courrier de la Ville du 4 janvier 2021 portant proposition d’acquisition de la maison sise 14 rue du Héron, courrier de la préfecture et rapport du BRGM du 21 juillet 2020), les factures et devis de l’entreprise qui a effectué le désamiantage, la démolition et les travaux de réfection de la berge, représentent un volume important dont la transmission par mail n’est pas aisément réalisable."

Bref, circulez il n'y a rien à voir. Bon, on va quand même insister.

 

 

MISE A JOUR DU 24.03.2021 : Le cas est en train de s'aggraver au fur et à mesure des recherches des petites souris de l'ECHO JOLI.

Selon la matrice cadastrale le numéro 12 rue du Héron (Mme A.), parcelle 3 appartient au groupe... KORIAN, les affairistes bien connus du mouroir planté comme une "merde" sur la place Bérat ou ce qu'il en reste avec la com... pardon la bénédiction de l'éminence grise immobilière, sa majesté LA BROSSE. En effet, Mme A. ne pouvait rester dans sa maison et son dossier a été traité par le CCAS en 2019. En clair, le groupe KORIAN possède (ou possédait) une maison qui n'existait pas, qui ne valait rien puisque la chute du mur est de l'entière responsabilité du propriétaire qui l'a mal construit, et par une opération miraculeuse se la ferait payer par le contribuable avec évidemment la connivence active de l'équipe municipale, son avocat et son maire en tête.

Quant au 14, Mme M., le cadastre répertorie deux appartements, alors que la maison est parfaitement habitable sauf avis contraire d'expert (avec contre-expertise, c'est un coup à 150000€ + 300000€ de démolition minimum). Là aussi c'est border limite petits arrangements. Il est temps que le préfet mette son nez dans ce foutoir, voire la cour des compte, sinon le proc.

Détails cocasses : il se trouve qu'un certain De Faccio, fiston de la marquise, travaille chez l'entreprise Lafosse qui a (bien) effectué les travaux. Toute suspicion de favoritisme serait mal venue. Il se trouve aussi que des travaux de même nature ont été effectués au pont de la rue du Camp Franc, toujours suite à un mauvais entretien des berges par un riverain négligeant. Devinez qui habite à l'endroit des dégâts ? Un certain Vincent OTHON. Le monde est décidément petit autour du château.

 

 

 

MISE A JOUR DU 20.03.2021 : Bien que n'ayant pas encore reçu de réponse, cela n'empêche pas de fouiner un peu, le renseignement, c'est mon truc et ça s'apprend. Stupéfiant, le n°12 qui a été démoli, c'est la parcelle n°3. Or, IL N'Y A PAS DE MAISON de représentée en jaune. Si ça se trouve la maison et le mur pourri qui s'est effondré ont été construits discrètement sans permis de construire. Du coup, les impôts fonciers, c'est de l'agricole, moins cher que le terrain bâti, la taxe d'habitation bof. Bref, nos artistes auraient acheté une maison fantôme et plombé le contribuable. Ce qui suppose quelques arrangements entre le maire, le propriétaire, l'avocat et néanmoins adjoint, et le notaire. Je sens qu'un juge d'instruction va avoir du mal à dépatouiller ce cirque.

Quant à la parcelle n°2, le 14 rue du Héron, l'expert n'avait pas considéré la maison comme non habitable.

On apprend au passage qu'un certain Charles De Faccio, fils de la marquise, bosse chez Lafosse, la boîte qui a -- bien -- fait les travaux, on va dire que ça facilite la signature des contrats, qui doivent figurer sur les décisions du maire qui tardent à arriver dans ma boîte mail de l'Echo Joli, on se demande pourquoi.

 

 

 

 

 

 

 L'arrêté ne concernait que le jardin, mais pas la maison, qui est en bon état. Il y a un loup !!!

 

MISE A JOUR DU 18.03.2021 : Courriel adressé à la mairie au sujet de l'affaire CIRIEUX/HERON. Depuis, d'autres informations sont parvenues à votre Journal préféré, à suivre.

 

"Sans entrer dans les détails, il y a belle lurette que je me suis fait ma religion sur le comportement des riverains du Cirieux, qui ont empiété sur le cours d'eau pour agrandir indûment leurs propriétés par des travaux de bricolage qui ont mené au désastre de l'inondation de 2019.
Le problème est d'ailleurs plus vaste puisqu'il date en fait d'imperméabilisations d'urbanisation, de constructions en zone inondable (Malicorne) et de culture de maïs sur les plateaux. Des maires, des élus, des propriétaires d'herbages de St Désir s'en sont mis plein les poches à l'époque. Le seul palliatif est un calibrage par buse et retenue avant Malicorne. Un audit est nécessaire, mais vous allez avoir des surprises et du fil à retordre pour mettre au pas.

Il est donc parfaitement inadmissible que ce soit le contribuable qui paye les fautes lourdes et les actions illégales de riverains indélicats et d'élus complices.

A votre décharge, reconnaissons que votre prédécesseur s'était désintéressé de cette affaire il est vrai plutôt minée.

Le mur qui s'est effondré au 12 rue du Héron, était très mal construit. La propriétaire, âgée et peu solvable, ne pouvait sans doute pas faire face aux dépenses que la ville a engagée. On peut donc admettre que la collectivité pourvoie, à condition que l'assurance contribue.

Par contre la propriétaire du 14 rue du Héron, Mme M. selon mes informations, est tout à fait solvable et devrait faire son affaire d'éventuelles réparations et/ou démolition, de la maison et du mur illégal construit en empiètement dans le cours d'eau s'il est hors d'usage. Quitte à revendre le terrain 1 euro symbolique pour que la ville aménage, je l'espère, un endroit sympa plutôt que les débilités boboïdes dont un de vos adjoints a le secret. Tout laisse à penser que Mme M. revend à bon compte sur le dos du contribuable un bien pour convenance personnelle avec votre accord actif.

Je note que par la faute de ces deux riverains fautifs, le pont de la rue du Héron est en très mauvais état, et n'a fait l'objet d'aucune réparation. Vous vous êtes contentés d'en limiter le tonnage.

Mais il y a pire. La propriété dans l'angle de la rue du gaz, appartenant à la famille M. pose problème. Cette famille avait vendu à la ville par le passé des garages totalement pourris pour agrandir le parking du gaz, votre prédécesseur étant familier de ce genre de petits arrangements entre amis. Les murs sont très affouillés, à tel point qu'un arrêté a empêché l'accès à une partie du jardin. Ce propriétaire est totalement irresponsable. Ou alors il attend simplement que le mur s'effondre pour refiler le mistigri au contribuable avec votre bénédiction.

Afin de compléter mon dossier pour un recours je vous serais obligé de bien vouloir me faire parvenir :

-- Le montant de l'achat du n°12 et la contribution des assurances.
-- Les factures et/ou devis des entreprises qui ont effectue désamiantage, démolition, travaux de réfection de la berge.
-- Le montant de l'achat du n°14 si celui-ci a été effectué, puisqu'en conseil municipal vous avez demandé des subventions (délibération 2021-25).
-- Les documents de cette délibération 2021-25 et en particulier le rapport d'expertise concernant l'état du mur du n°14.
-- Les coûts prévisionnels de démolition et de remise au gabarit de la rive.

Nul doute que ces opérations limites voire douteuses ne peuvent qu'inciter des riverains de plusieurs kilomètres de rives de cours d'eau que compte la ville de Lisieux à faire n'importe quoi comme j'ai pu le constater récemment dans mon quartier.

Je m'étonne par exemple de voir que des berges de la Touques et des buses d'eaux pluviales endommagées par la même crue ne soient toujours pas remises en état alors que vous demandez au SMBVT des subventions pour le n°14."

 

 

JOHNNY BE BAD BIENTÔT GAZÉ ?

 

 

MISE A JOUR DU 04.12.2020 : Après des mises à la fourrière débiles puisque l'entreprise s'est installée deux jours plus tard, et a laissé partir cool les quelques imprudents qui s'étaient quand même garés dans le périmètre, l'emplacement utilisé est raisonnable. Pas de bol, il a plu et ça va bouillasser, c'est la Normandie.

Coup de chance, la fête foraine est annulée, ça va donc le faire côté stationnement. Au passage, il n'est pas certain que les forains -- que je plains -- ne viennent pas quand même s'installer à Lisieux, lieu de villégiature sympa pendant un mois, avec électricité open bar (j'avais eu une note un jour il y en avait pour 450000Francs de mémoire).

 

MISE A JOUR DU 25.11.2020 : Ceux qui suivent se souviennent des inondations du Cirieux il y a presque deux ans maintenant, les berges d'une maison s'étaient effondrées, cela se termine par une démolition. Dans la bagarre le pont de la rue du Héron et les réseaux en ont pris un coup. Le roitelet avait joué la montre, la nouvelle municipalité a donc dû s'y coller. 

Vu la conformation des lieux les engins et le chantier vont encombrer les rues, avec en prime la circulation des gosses de l'école à organiser.

Le roitelet faisait semblant de faire de la concertation, là, personne n'a été consulté ni prévenu, et les habitants du quartier ont reçu un courrier ce matin pour... ce matin (l'arrêté date du 13 novembre, signé Johnny).

Ils sont informés que les rues seront bloquées "selon les impératifs du chantier", qu'un passage pour piéton sera préservé. On sait comment ça se passe dans ces cas là, on ferme tout pour pas être emmerdé par les badauds qui te traînent dans les pieds. Du coup le parking du GAZ va devenir difficilement accessible voire totalement bloqué. En plein au moment où les commerces ré-ouvrent, ça fait désordre. D'autant plus que l'arrivée de la fête foraine vers le 20 décembre est dans le tuyau, si la situation sanitaire le permet.

Les riverains envisagent une pétition, certains ont ressorti rouleaux à pâtisserie, vieilles casseroles, martinets et Fly-Tox. Le Johnny a intérêt à pas trop traîner dans le quartier. Le moins qu'on puisse dire est que c'est maladroit, car il suffit d'une modification provisoire du carrefour de la rue du Héron avec le Bd Ste Anne pour pouvoir circuler dans les deux sens et accéder en permanence au parking. Vous avez dit pois chiche ?